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21 mars 2012

L’incroyable histoire de Winter le dauphin

Véronique LE BRIS / Non classé amitié, dauphin, enfant, Floride., handicap, nageoire, timide / 0 Comments

La note Cine-Woman : 1/5

Dès 6 ans 

Sawyer, un jeune garçon très réservé, trouve par hasard un dauphin échoué et blessé. A l’hôpital où on le transporte, Winter, le dauphin, se laisse mourir jusqu’au jour où Saywer s’occupe de lui. Ensemble, ils vont franchir pas à pas le chemin qui leur ouvre un monde apaisé, Sawyer socialise quand Winter accepte la prothèse qui lui est nécessaire pour nager. Autant cette histoire vraie est exceptionnelle, autant le film qui en est tiré est d’un classicisme ultra-conventionnel. Tant pis, car la rédemption du petit garçon comme du dauphin mérite qu’on s’attarde à cette relation hors pair qui unit le plus sensible des cétacés à l’humain.

De Charles Martin Smith, avec Harry Connick Jr, Ashley Judd, Nathan Gamble, Kris Kristofferson, Morgan Freeman

2011 – USA – 1h52

En partenariat avec Grains de Sel 

21 mars 2012

Colorful

Véronique LE BRIS / Non classé adolescence, dessin animé, famille, Japon, lycée, suicide, Un été avec Coo / 0 Comments

La note Cine-Woman : 4/5

A partir de 12 ans

Le cinéma japonais, sans être moraliste, ne s’interdit jamais d’aborder de front des sujets douloureux mais universels. Makoto, un ado mal dans sa peau, vient de suicider.Sa famille est éplorée. Un ange gris lui offre une seconde vie. A condition que Makato accepte une douloureuse mise à l’épreuve et comprenne ainsi la raison de son acte. Le chemin sera long, difficile.

Ici, tous les thèmes de l’adolescence sont traités sans détour : la sexualité, la mort, la violence, l’isolement, l’incompréhension familiale, l’ennui, les passions révélées, les amitiés nécessaires… Et le parcours de l’âme de Makato est parsemée d’embûches. Toutes l’aideront à grandir, à faire et à assumer ses choix.

Adapté d’un roman de Eto Mori par Keiichi Hara, le réalisateur talentueux d’Un été avec Coo, Colorful, au graphisme épuré, s’installe alors comme une subtile leçon de vie, pertinente, actuelle et une profonde réflexion sur l’adolescence d’aujourd’hui.

de Keiishi Hara

2010- Japon- 2h07

En partenariat avec Grains de Sel

14 mars 2012

The Artist

Véronique LE BRIS / Non classé âge, Bérénice Béjo, cinéma parlant, comédie musicale., d'or, film muet, Hollywood, Jean Dujardin, noir et blanc / 0 Comments

La note Cine-Woman : 3/5

  de Michel Hazanavicius 

Séance de rattrapage o-bli-ga-toi-re! Non content d’avoir raflé près de 1,5 millions de spectateurs lors de sa première sortie le 11 octobre dernier, d’avoir amassé déjà 20 prix dans les compétitions et festivals du monde entier dont le prix d’interprétation pour Jean Dujardin à Cannes, d’être nominé 10 fois aux prochains Oscar parmi les plus prestigieux, d’avoir propulsé des talents déjà reconnus en France partout dans le monde, The Artist ressort en salle. 

Véritable hommage au cinéma hollywoodien de la grande époque, celle du muet puis des comédies musicales, The Artist raconte le destin croisé de deux acteurs. George Valentin est la superstar de son époque. Tout lui sourit. Il est riche, beau, célèbre, adulé et fait la pluie et le beau temps dans les studios. Mais, il perçoit mal quelle révolution va être le cinéma parlant et il va se faire balayer par ce passage à une nouvelle ère. Peppy Miller, elle, est une figurante que sa rencontre avec George Valentin va propulser au sommet.

De facture très classique, calqué tant dans son scénario que dans sa réalisation sur un standard cinématographique de la fin des années 1920, ce nouveau film de Michel Hazanavicius (auteur des deux OSS récents, avec le même Dujardin) séduit par son audace : il fallait être fou pour imaginer un film muet, en noir et blanc aujourd’hui. Par le jeu absolument merveilleux de ses deux acteurs : Jean Dujardin , en passe de devenir un des acteurs français sacré par Hollywood, est formidable tant il est comme toujours expressif et juste, mais Bérénice Bejo lui ravit la vedette avec une facilité déconcertante. C’est elle la vraie surprise du film, elle est mériterait amplement de décrocher la statuette.

Dommage pourtant que l’audace s’arrête là. Tant qu’à faire, on a aurait adoré que le film s’émancipe des codes, qu’il explose les cadres, bref, qu’il innove dans l’hommage. Un peu comme Michel Hazanavicius avait si bien sur le faire dans le premier opus d’OSS 117, Le Caire, nid d’espions ou, sans être purement parodique, il mettait une gifle bien sentie aux super-justiciers et autres espions officiels. N’empêche on lui souhaite toutefois de réussir à rafler le maximum de statuettes.. Ne serait-ce que parce qu’on a hâte de voir ce qu’il nous réserve pour la suite.

avec Jean Dujardin, Bérénice Bejo, John Goodman, James Cromwell

2011 – France – 1h40


14 mars 2012

Cloclo

Véronique LE BRIS / Films, Mon blog biopic, chanson française, Claude François, Jérémie Renier / 0 Comments

Cloclo, le biopic que Florent-Emilio Siri consacre au chanteur Claude François, permet de comprendre l’idole pop française, pas forcément d l’aimer.

Lire la suite

15 février 2012

Le jardinier qui voulait être roi

Véronique LE BRIS / Non classé court-métrage, dessin animé, marionette, philosophie, République Tchèque, royauté, vie de château / 0 Comments

La note Cine-Woman : 4/5 

Dès 5 ans

Charmante découverte à proposer aux plus jeunes que ce programme de marionnettes presque plus expressives que ne le seraient des personnages vivants, se mouvant dans des décors au kitsch amusant. Les deux courts-métrages qui le composent sont, selon leurs auteurs respectifs Kristina Dufkova et David Sükup, inspirés de l’univers de l’auteur Jan Werich, fondateur du théâtre d’avant-garde tchèque, auteur de nombreuses satires inspirés des intrigues de la vie de château

Dans la première histoire, un roi demande à ses trois fils d’aller récupérer un chapeau à plumes qu’il avait oublié dans un endroit lointain mais qui lui rappelle les meilleurs souvenirs.

L’aîné part en trombe au volant de son bolide, le second en bulldopelleteuse, le troisième, en qui le roi n’a aucune confiance, en mobylette. Celui qui récupèrera le galurin sera sacré roi. Lequel y parviendra ? Ce conte séduisant, amusant n’a pourtant pas la force du second film. Deux personnages, La Raison et la Chance, s’y croisent sur un pont, et si la Raison finit par laisser le passage, le récit qui s’ensuit va brillamment démontré, à partir d’un enchaînement de situations quotidiennes et cocasses, que l’on ne peut vivre ni sans Raison, ni sans Chance, mais qu’elles se croisent finalement rarement. Deux films sans morale apparente mais d’une haute tenue philosophique, dont les tout-petits captent l’intérêt et le message, bouche bée ! A voir sans hésitation.

De Kristina Dufkova et David Sukup

2010 – République Tchèque – 1h05

En partenariat avec Grains de sel


affiche de la 62e berlinale
9 février 2012

Berlinale, 62e !

Véronique LE BRIS / Mon blog actrices, Berlinale, Compétition, femmes, Festival de Berlin, Meryl Streep, Ours d'or, réalisatrices / 0 Comments

affiche de la 62e berlinaleOù sont les femmes?

La 62e Berlinale ouvre ses portes aujourd’hui et jusqu’au 19 février prochain. Au programme ce soir : Les Adieux à la reine, le film que le français Benoît Jacquot consacre à la Reine Marie-Antoinette avec Diane Kruger, en reine de France, Léa Seydoux, en confidente, Virginie Ledoyen et Noémie Lvovsky en dames de Cour.

Pour tout dire, j’aime beaucoup le Festival de Berlin où je suis allée quelquefois.Parce qu’il se passe à Berlin, dans tout Berlin et que c’est une ville exceptionnelle. Parce que son QG est sur la fameuse Postdamer Platz, le nouveau centre névralgique de la ville réunifiée, qui fut, du temps de la partition, un no man’s land glaçant, inimaginable aujourd’hui.Parce que l’ambiance est à priori beaucoup plus froide qu’à Cannes (là, il y fait – 9°c, comme à Paris en somme!, une température idéale pour remplir les salles de cinéma), mais qu’en fait, c’est beaucoup plus chaleureux. Parce que le Festival est remarquablement organisé, qu’on y côtoie autant de stars que du « vrai » public (pas de notables qui ne vont au cinéma qu’une fois l’an pour sortir la robe longue) et qu’on réussit à parler aux uns et aux autres. Parce que la sélection est généralement accessible et parfois même décevante… Qu’attendre justement de cette édition 2012? 

Quelques bonnes surprises : celle de découvrir Isabelle Huppert, Captive chez Brillante Mendoza, Léa Seydoux dans deux films de la compétition, chez Jacquot et aussi chez Ursula Meier dans L’enfant d’en haut, comme Noémie Lvovsky à l’affiche des Adieux à la reine et d’A moi seule de Frédéric Videau, aux côtés d’Agathe Bonitzer et d’Hélène Fillières ou encore Aïssa Maïga dans Aujourd’hui d’Alain Gomis, autre compétiteur. Sinon, il y a aussi Kristin Scott Thomas dans Bel Ami, présenté hors compèt, Juliette Binoche pour Elles, section panorama… Voilà le tableau côté actrices… Mais, justement, à part elles, où seront les femmes à Berlin, cette année?

Une seule réalisatrice est en lice pour l’Ours d’Or : la suisse Ursula Meier. décevant pour un festival qui détient pourtant le record de récompenses suprêmes accordées à des réalisatrices. En moins d’une décennie, deux femmes ont obtenu cette reconnaissance. Jasmila Zbanic, en 2006, pour Sarajevo, mon amour, et Claudia Llosa, en 2009, pour Fausta. Pour mémoire, seule Kathryn Bigelow a remporté l’Oscar du meilleur réalisateur et Jane Campion, une Palme d’Or.

Il y a bien aussi Phyllida Lloyd pour La Dame de fer, mais le film est présenté en séance spéciale, qui vaut, c’est vrai, un Ours d’honneur à sa principale interprète, Meryl Streep.

Même la composition du jury est décevante: 2 femmes sur 8 membres, Charlotte Gainsbourg et Barbara Sukowa, soit 25% du total, mais Berlin nous avait toujours habituées à mieux.

On se rattrapera comme souvent en reconnaissant que les femmes seront souvent le principal sujet des films, qu’il s’agisse de Jayne Manfield, de Barbara, de Tabu ou même de Rebelle de Kim Nguyen qui va clore la compétition. Parce que c’est l’histoire incroyable et sordide d’une enfante soldate été slave et que c’est mon ami Pierre, producteur québécois, qui l’a produit, qui va pour la première fois à Berlin et que selon lui, le film est une tuerie!

Réponse le samedi 18 février au soir.


1 février 2012

Les folles inventions de M.Bricolo

Véronique LE BRIS / Non classé banane, Charly Bowers, dingue, folie, muet, noir et blanc, reprise / 0 Comments

La note Cine-Woman : 2/5

Dès 6 ans

Bricolo est un inventeur loufoque. Qu’il s’agisse d’un procédé inédit de greffe pour débarrasser une maison d’une colonie de souris, de chaussures pour mieux danser le Charleston ou d’une peau de banane antidérapante, ses innovations révolutionnent son petit monde, pas toujours convaincu au départ. Ces trois courts-métrages muets de et avec Charly Bowers, réalisés en 1924, sont à redécouvrir de toute urgence. Avec la même gourmandise qu’un vieux Chaplin ou Laurel et Hardy.

De Charly Bowers

1924 – USA – 1h02

En partenariat avec Grains de sel


1 février 2012

Félins

Véronique LE BRIS / Non classé Disney, felin, femelle, guépard, Kenya, lion, lionne, Masai Mara, Nature, sauvage / 0 Comments

La note Cine-Woman : 4/5 

Dès 6 ans

En pleine réserve du Masai Mara au Kenya, un fleuve majestueux coupe la Savane en deux. Au sud, le clan des lionnes du vieux Fang qui vit paisiblement de la chasse et profite de ses nombreux lionceaux. Au Nord, Sita à l’affût de tous les dangers pour préserver ses cinq petits guépards, et l’armée puissante du valeureux lion Kali, prêt à tout pour accroître son territoire au sud. La survie, l’expansion, voici donc les thèmes abordés par ce magnifique documentaire, filmé au plus près des animaux sauvages.

Au fil des saisons, on découvre les dangers de l’existence aventureuse des félins, leurs difficultés à se nourrir, leur stratégie de survie, les menaces des leurs qui ne sont peut-être les plus meurtrières. Le tout avec un suspense qui fait parfois froid dans le dos. Un film inoubliable autant pour ses images sublimes que pour la leçon de vie qu’il distille loin des clichés habituels. Et pour son point de vue féministe aussi. Pour une fois, la nature y est filmée du point de vue des femelles, lionnes, guépards ou autres. Et cela change (presque) tout. 

De Keith Scoley et Alastair Fothergill

2011 – USA – 1h27

En partenariat avec Grains de Sel

1 février 2012

Elles

Véronique LE BRIS / Non classé Elle, étudiante, Juliette Binoche, prostituée, sexe tarifé, sexualité / 0 Comments

La note Cine-Woman : 1/5

   de Malgoska Szumowska

Elles, ce sont ces jeunes femmes sans scrupule qui vendent leur corps pour se payer des études ou un avenir en France. D’extraction modeste ou étrangère, elles sont des prostituées occasionnelles, plus ou moins régulières, qui s’assurent ainsi un train de vie à la hauteur de leurs ambitions. Elle, c’est Juliette Binoche, journaliste au magazine Elle justement, qui peine à écrire son enquête sur la prostitution étudiante… puis qui, d’un seul coup d’un seul, a une révélation.

Bobo parmi les bobos, elle s’ennuie, subit sa vie de mère, d’épouse parfaite à la sexualité non épanouie… Bref, son enquête la bouleverse tant qu’elle remet sa vie en cause.

Dit comme ça, Elles, le film, se laisserait voir. Le sujet est dérangeant, les confidences de ces jeunes femmes qu’on entend jamais questionnante. Mais, la caricature avec laquelle la réalisatrice polonaise Malgoska Szumowska, présente la journaliste, caricature dans laquelle se complait  et se jette Juliette Binoche, coupe toute velléité d’air de l’empathie pour elle : en deux scènes, chez elle, penchée sur son Mac (si, si!)  et enquête d’inspiration, elle est exaspérante.

Il n’y a guère que les scènes où les jeunes femmes se confient qui sont intéressantes. Même les interviews, surtout quand elles dérapent, sont ratées, rapidement insupportables à regarder.

Au lieu de décrire un sujet en le montrant comme on s’attendait à ce que la réalisatrice documentariste le fasse, on tombe dans le fantasme du luxe, du journalisme, de la prostitution propre et de la libido bourgeoise qu’il faut encanailler. Et comme de fait exprès, le film est particulièrement mal monté!

avec Juliette Binoche, Anaïs Demoustier, Joanna Kulig, Louis-Do de Lencquesaing

2011- France/Pologne/Allemagne- 1h36


31 janvier 2012

Zarafa

Véronique LE BRIS / Non classé Afrique, aventure, conte africain, dessin animé, girafe, Méditerranée, Sahara, sauvage / 0 Comments

La note Cine-Woman : 3/5

Dès 6 ans

En 1826, l’arrivée de la première girafe en France est un évènement. Offerte par le Pacha d’Egypte au roi Charles X, Zarafa (girafe en arabe) a traversé le Sahara, la Méditerranée, les Alpes et une bonne partie de la France pour rejoindre à pied le Jardin des Plantes à Paris. Cette histoire vraie a inspiré ce conte typiquement qu’un vieux sage raconte sous le baobab à des enfants d’aujourd’hui captivés.

 Avec un dessin aux traits nets et soulignés mais aux couleurs contrastées, ce dessin animé mixe avec brio le réalisme et les différentes ambiances que traversent les héros. Si le film en rajoute sur l’aspect épique de ce voyage incroyable, en faisant prendre à la girafe un ballon dirigeable par exemple, Rémi Bezançon, réalisateur réputé pour Le premier jour du reste de ta vie, aborde sans mièvrerie des thèmes aussi profonds que la mort de la mère, le racisme ou encore le respect de parole tenue. Il se moque même de la société parisienne des années 1820 capables d’adopter sans retenue la mode des animaux sauvages tout en traitant les petits africains comme des esclaves.

De Remi Bezançon et Jean-Christophe Lie

2010 – France – 1h18

En partenariat avec Grains de Sel

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