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affiche du film Marsupilami
8 avril 2012

Le Marsupilami ?

Véronique LE BRIS / Mon blog Alain Chabat potache, chihuahua, humour, Jamel Debbouze, Lambert Wilson, Marsupilami, mauvais goût / 0 Comments

affiche du film MarsupilamiUn film de mecs !

« T’as aimé le Marsupilami? « . « Ben non, rien que la scène du Chihuahua, ça suffit à me dégouter du film ». « Qu’est-ce qu’ils ont tous avec, alors? » « T’inquiète, ça doit être un truc de mecs, on peut pas comprendre »… Je n’ai pas épluché toutes les critiques mais c’est vrai que la majorité étant masculines (je relate plus haut  une discussion avec une consoeur, à l’esprit très large), on peut dire que le film d’Alain Chabat a été SOU-TE-NU. Même si ce n’est pas ça qui fera son succès public. Moi aussi, j’ai trouvé nulle cette scène du Chihuahua qui se soulage dans l’oreille de Jamel, comme j’ai trouvé pathétique le final de Lambert Wilson en Céline Dion. Et comme le début du film manque sérieusement de rythme, que les blagues sentent la naphtaline, que Jamel et Chabat sont exactement comme il y a dix ans, … je n’ai pas trouvé grand chose pour sauver le film. Et plus j’y réfléchis, moins j’en trouve.

 Inutile de me balancer « t’aimes pas rire, t’aimes pas la BD, t’aimes pas Chabat« …. etc, parce que j’adore rire, Franquin et j’aime bien Chabat (j’adore Astérix & Obélix : Mission Cléopâtre). Mais c’est vrai que je n’aime pas l’humour potache, facile, de mec-qui-n’s’assume-tellement-pas-qu’il-doit-s’habiller-en-robe-à-paillettes-pour-avoir-l’impression-d’être offensant, politiquement incorrect ou tout simple drôle. Bref, je n’aime pas cet humour de mec-là, gras, sans finesse et je suis sûre que pleins de filles ne s’y retrouvent pas non plus, même si elles n’osent pas trop le dire. Sur Facebook, une autre collègue disait qu’elle trouvait les gags du film embarrassants. Je suis d’accord avec elle, même s’ils ne me choquent pas : je les trouve bêtes et pas marrants du tout. Débiles en un mot.

Allez, Chabat, grandissez un chouïa, je suis sûre que vous êtes capable de bien mieux. De beaucoup mieux.


7 avril 2012

Happy Feet 2

Véronique LE BRIS / Non classé banquise, danse, dessin animé, fils, glace, Happy Feet, père, pingouin / 0 Comments

La note Cine-Woman : 1/5

Dès 6 ans

Mumble était le seul pingouin plus à l’aise en dansant qu’en chantant. Son fils trouve, lui, plus utile d’apprendre à voler qu’à danser. Ce qui servirait pour délivrer leur colonie prise au piège…Encore une histoire d’initiation où le père transmet autant à son fils qu’il en apprend de lui. A part de belles images et des crevettes hilarantes, ce Happy Feet 2 est décevant. Non seulement la BO qui donnait le tempo du premier épisode, Happy Feet sorti en 2006, est inintéressante, mais l’histoire, téléphonée, ne séduit pas non plus.

De George Miller

2011- USA – 1h45

En partenariat avec Grains de sel 


4 avril 2012

Le vilain petit canard

Véronique LE BRIS / Non classé Andersen, conte, courage, différence, espoir, identité, politique, Tchaikovski, tolérance, vilain petit canard / 0 Comments

La note Cine-Woman : 4/5

Dès 5 ans

Vous connaissez bien sûr le conte d’Andersen. Le russe Garri Bardine (La nounou) est un réalisateur bien trop imaginatif pour ne y avoir glisser son grain de sel! Un oeuf trop gros arrive dans une basse-cour très ordonnée. Il en sort un volatile, noir, pelé, différent des autres qui, malgré toute sa volonté et son courage, ne parvient pas à se faire accepter. Après bien des malheurs, il finira par trouvera sa famille, celle de magnifiques cygnes blancs qui l’emporteront bien au delà de cet enclos étriqué. Bien sûr il est ici question de tolérance, d’espoir, de quête d’amour et d’identité. Mais, en se raillant cette basse-cour militairement organisée, Garri Bardine donne une dimension politique innovante et très amusante à ce conte d’abord philosophique.  Son talent principal reste pourtant celui d’exprimer les émotions les plus fortes poétiquement, notamment grâce à la musique de Tchaikovski. On met au défi quiconque, grands et petits, de regarder ces volatiles s’étriper sans verser la moindre larme…

De Garri Bardine

2010 – Russie – 1h14

En partenariat avec Grains de Sel

21 mars 2012

L’incroyable histoire de Winter le dauphin

Véronique LE BRIS / Non classé amitié, dauphin, enfant, Floride., handicap, nageoire, timide / 0 Comments

La note Cine-Woman : 1/5

Dès 6 ans 

Sawyer, un jeune garçon très réservé, trouve par hasard un dauphin échoué et blessé. A l’hôpital où on le transporte, Winter, le dauphin, se laisse mourir jusqu’au jour où Saywer s’occupe de lui. Ensemble, ils vont franchir pas à pas le chemin qui leur ouvre un monde apaisé, Sawyer socialise quand Winter accepte la prothèse qui lui est nécessaire pour nager. Autant cette histoire vraie est exceptionnelle, autant le film qui en est tiré est d’un classicisme ultra-conventionnel. Tant pis, car la rédemption du petit garçon comme du dauphin mérite qu’on s’attarde à cette relation hors pair qui unit le plus sensible des cétacés à l’humain.

De Charles Martin Smith, avec Harry Connick Jr, Ashley Judd, Nathan Gamble, Kris Kristofferson, Morgan Freeman

2011 – USA – 1h52

En partenariat avec Grains de Sel 

21 mars 2012

Colorful

Véronique LE BRIS / Non classé adolescence, dessin animé, famille, Japon, lycée, suicide, Un été avec Coo / 0 Comments

La note Cine-Woman : 4/5

A partir de 12 ans

Le cinéma japonais, sans être moraliste, ne s’interdit jamais d’aborder de front des sujets douloureux mais universels. Makoto, un ado mal dans sa peau, vient de suicider.Sa famille est éplorée. Un ange gris lui offre une seconde vie. A condition que Makato accepte une douloureuse mise à l’épreuve et comprenne ainsi la raison de son acte. Le chemin sera long, difficile.

Ici, tous les thèmes de l’adolescence sont traités sans détour : la sexualité, la mort, la violence, l’isolement, l’incompréhension familiale, l’ennui, les passions révélées, les amitiés nécessaires… Et le parcours de l’âme de Makato est parsemée d’embûches. Toutes l’aideront à grandir, à faire et à assumer ses choix.

Adapté d’un roman de Eto Mori par Keiichi Hara, le réalisateur talentueux d’Un été avec Coo, Colorful, au graphisme épuré, s’installe alors comme une subtile leçon de vie, pertinente, actuelle et une profonde réflexion sur l’adolescence d’aujourd’hui.

de Keiishi Hara

2010- Japon- 2h07

En partenariat avec Grains de Sel

14 mars 2012

The Artist

Véronique LE BRIS / Non classé âge, Bérénice Béjo, cinéma parlant, comédie musicale., d'or, film muet, Hollywood, Jean Dujardin, noir et blanc / 0 Comments

La note Cine-Woman : 3/5

  de Michel Hazanavicius 

Séance de rattrapage o-bli-ga-toi-re! Non content d’avoir raflé près de 1,5 millions de spectateurs lors de sa première sortie le 11 octobre dernier, d’avoir amassé déjà 20 prix dans les compétitions et festivals du monde entier dont le prix d’interprétation pour Jean Dujardin à Cannes, d’être nominé 10 fois aux prochains Oscar parmi les plus prestigieux, d’avoir propulsé des talents déjà reconnus en France partout dans le monde, The Artist ressort en salle. 

Véritable hommage au cinéma hollywoodien de la grande époque, celle du muet puis des comédies musicales, The Artist raconte le destin croisé de deux acteurs. George Valentin est la superstar de son époque. Tout lui sourit. Il est riche, beau, célèbre, adulé et fait la pluie et le beau temps dans les studios. Mais, il perçoit mal quelle révolution va être le cinéma parlant et il va se faire balayer par ce passage à une nouvelle ère. Peppy Miller, elle, est une figurante que sa rencontre avec George Valentin va propulser au sommet.

De facture très classique, calqué tant dans son scénario que dans sa réalisation sur un standard cinématographique de la fin des années 1920, ce nouveau film de Michel Hazanavicius (auteur des deux OSS récents, avec le même Dujardin) séduit par son audace : il fallait être fou pour imaginer un film muet, en noir et blanc aujourd’hui. Par le jeu absolument merveilleux de ses deux acteurs : Jean Dujardin , en passe de devenir un des acteurs français sacré par Hollywood, est formidable tant il est comme toujours expressif et juste, mais Bérénice Bejo lui ravit la vedette avec une facilité déconcertante. C’est elle la vraie surprise du film, elle est mériterait amplement de décrocher la statuette.

Dommage pourtant que l’audace s’arrête là. Tant qu’à faire, on a aurait adoré que le film s’émancipe des codes, qu’il explose les cadres, bref, qu’il innove dans l’hommage. Un peu comme Michel Hazanavicius avait si bien sur le faire dans le premier opus d’OSS 117, Le Caire, nid d’espions ou, sans être purement parodique, il mettait une gifle bien sentie aux super-justiciers et autres espions officiels. N’empêche on lui souhaite toutefois de réussir à rafler le maximum de statuettes.. Ne serait-ce que parce qu’on a hâte de voir ce qu’il nous réserve pour la suite.

avec Jean Dujardin, Bérénice Bejo, John Goodman, James Cromwell

2011 – France – 1h40


14 mars 2012

Cloclo

Véronique LE BRIS / Films, Mon blog biopic, chanson française, Claude François, Jérémie Renier / 0 Comments

Cloclo, le biopic que Florent-Emilio Siri consacre au chanteur Claude François, permet de comprendre l’idole pop française, pas forcément d l’aimer.

Lire la suite

15 février 2012

Le jardinier qui voulait être roi

Véronique LE BRIS / Non classé court-métrage, dessin animé, marionette, philosophie, République Tchèque, royauté, vie de château / 0 Comments

La note Cine-Woman : 4/5 

Dès 5 ans

Charmante découverte à proposer aux plus jeunes que ce programme de marionnettes presque plus expressives que ne le seraient des personnages vivants, se mouvant dans des décors au kitsch amusant. Les deux courts-métrages qui le composent sont, selon leurs auteurs respectifs Kristina Dufkova et David Sükup, inspirés de l’univers de l’auteur Jan Werich, fondateur du théâtre d’avant-garde tchèque, auteur de nombreuses satires inspirés des intrigues de la vie de château

Dans la première histoire, un roi demande à ses trois fils d’aller récupérer un chapeau à plumes qu’il avait oublié dans un endroit lointain mais qui lui rappelle les meilleurs souvenirs.

L’aîné part en trombe au volant de son bolide, le second en bulldopelleteuse, le troisième, en qui le roi n’a aucune confiance, en mobylette. Celui qui récupèrera le galurin sera sacré roi. Lequel y parviendra ? Ce conte séduisant, amusant n’a pourtant pas la force du second film. Deux personnages, La Raison et la Chance, s’y croisent sur un pont, et si la Raison finit par laisser le passage, le récit qui s’ensuit va brillamment démontré, à partir d’un enchaînement de situations quotidiennes et cocasses, que l’on ne peut vivre ni sans Raison, ni sans Chance, mais qu’elles se croisent finalement rarement. Deux films sans morale apparente mais d’une haute tenue philosophique, dont les tout-petits captent l’intérêt et le message, bouche bée ! A voir sans hésitation.

De Kristina Dufkova et David Sukup

2010 – République Tchèque – 1h05

En partenariat avec Grains de sel


affiche de la 62e berlinale
9 février 2012

Berlinale, 62e !

Véronique LE BRIS / Mon blog actrices, Berlinale, Compétition, femmes, Festival de Berlin, Meryl Streep, Ours d'or, réalisatrices / 0 Comments

affiche de la 62e berlinaleOù sont les femmes?

La 62e Berlinale ouvre ses portes aujourd’hui et jusqu’au 19 février prochain. Au programme ce soir : Les Adieux à la reine, le film que le français Benoît Jacquot consacre à la Reine Marie-Antoinette avec Diane Kruger, en reine de France, Léa Seydoux, en confidente, Virginie Ledoyen et Noémie Lvovsky en dames de Cour.

Pour tout dire, j’aime beaucoup le Festival de Berlin où je suis allée quelquefois.Parce qu’il se passe à Berlin, dans tout Berlin et que c’est une ville exceptionnelle. Parce que son QG est sur la fameuse Postdamer Platz, le nouveau centre névralgique de la ville réunifiée, qui fut, du temps de la partition, un no man’s land glaçant, inimaginable aujourd’hui.Parce que l’ambiance est à priori beaucoup plus froide qu’à Cannes (là, il y fait – 9°c, comme à Paris en somme!, une température idéale pour remplir les salles de cinéma), mais qu’en fait, c’est beaucoup plus chaleureux. Parce que le Festival est remarquablement organisé, qu’on y côtoie autant de stars que du « vrai » public (pas de notables qui ne vont au cinéma qu’une fois l’an pour sortir la robe longue) et qu’on réussit à parler aux uns et aux autres. Parce que la sélection est généralement accessible et parfois même décevante… Qu’attendre justement de cette édition 2012? 

Quelques bonnes surprises : celle de découvrir Isabelle Huppert, Captive chez Brillante Mendoza, Léa Seydoux dans deux films de la compétition, chez Jacquot et aussi chez Ursula Meier dans L’enfant d’en haut, comme Noémie Lvovsky à l’affiche des Adieux à la reine et d’A moi seule de Frédéric Videau, aux côtés d’Agathe Bonitzer et d’Hélène Fillières ou encore Aïssa Maïga dans Aujourd’hui d’Alain Gomis, autre compétiteur. Sinon, il y a aussi Kristin Scott Thomas dans Bel Ami, présenté hors compèt, Juliette Binoche pour Elles, section panorama… Voilà le tableau côté actrices… Mais, justement, à part elles, où seront les femmes à Berlin, cette année?

Une seule réalisatrice est en lice pour l’Ours d’Or : la suisse Ursula Meier. décevant pour un festival qui détient pourtant le record de récompenses suprêmes accordées à des réalisatrices. En moins d’une décennie, deux femmes ont obtenu cette reconnaissance. Jasmila Zbanic, en 2006, pour Sarajevo, mon amour, et Claudia Llosa, en 2009, pour Fausta. Pour mémoire, seule Kathryn Bigelow a remporté l’Oscar du meilleur réalisateur et Jane Campion, une Palme d’Or.

Il y a bien aussi Phyllida Lloyd pour La Dame de fer, mais le film est présenté en séance spéciale, qui vaut, c’est vrai, un Ours d’honneur à sa principale interprète, Meryl Streep.

Même la composition du jury est décevante: 2 femmes sur 8 membres, Charlotte Gainsbourg et Barbara Sukowa, soit 25% du total, mais Berlin nous avait toujours habituées à mieux.

On se rattrapera comme souvent en reconnaissant que les femmes seront souvent le principal sujet des films, qu’il s’agisse de Jayne Manfield, de Barbara, de Tabu ou même de Rebelle de Kim Nguyen qui va clore la compétition. Parce que c’est l’histoire incroyable et sordide d’une enfante soldate été slave et que c’est mon ami Pierre, producteur québécois, qui l’a produit, qui va pour la première fois à Berlin et que selon lui, le film est une tuerie!

Réponse le samedi 18 février au soir.


1 février 2012

Les folles inventions de M.Bricolo

Véronique LE BRIS / Non classé banane, Charly Bowers, dingue, folie, muet, noir et blanc, reprise / 0 Comments

La note Cine-Woman : 2/5

Dès 6 ans

Bricolo est un inventeur loufoque. Qu’il s’agisse d’un procédé inédit de greffe pour débarrasser une maison d’une colonie de souris, de chaussures pour mieux danser le Charleston ou d’une peau de banane antidérapante, ses innovations révolutionnent son petit monde, pas toujours convaincu au départ. Ces trois courts-métrages muets de et avec Charly Bowers, réalisés en 1924, sont à redécouvrir de toute urgence. Avec la même gourmandise qu’un vieux Chaplin ou Laurel et Hardy.

De Charly Bowers

1924 – USA – 1h02

En partenariat avec Grains de sel


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