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https://youtu.be/9ziRYu1K72M
20 février 2013

Chimpanzés

Véronique LE BRIS / Ciné-Mômes, Films, Mon blog chimpanzé, Disney, documentaire, Nature, singe, storytelling / 0 Comments

Dès 5 ans

Oscar est un bébé chimpanzé qui vit auprès de sa maman et sa communauté dans une grande forêt équatoriale d’Afrique. Il n’a pas encore un an et profite de la relation fusionnelle qui le lie à sa mère pour apprendre la vie : apprendre à se nourrir, à utiliser les outils, à comprendre les dangers qui le guettent, à socialiser et même à jouer.

Sa « tribu» menée par le vieux sage Freddy doit sortir de son territoire pour aller chercher de quoi manger. Mais, leurs « ennemis », une autre tribu de chimpanzés se défendent. Dans la lutte, Oscar perd sa mère et il lui faudra alors retrouver la protection d’un adulte pour pouvoir continuer à grandir… Avec Félins, Disney Nature avait prouvé qu’on pouvait raconter des histoires incroyables et inédites à condition de suivre pendant plusieurs années le même groupe d’animaux. Chimpanzés est un peu moins réussi, même s’il a fallu 3 ans de tournage dans des conditions extrêmes pour raconter l’histoire d’Oscar. Les images restent magnifiques, inoubliables, les rivalités intenses, mais l’émotion et le suspense un peu moins forts que dans le combat des lions, livré précédemment. Cela reste un documentaire captivant et une nouvelle manière extraordinaire de raconter la nature.

De Alasthair Fothergill et Mark Linfield, raconté par Ary Abittan

2012 – USA – 1h18

En partenariat avec Grains de Sel

 

 

 

 

20 février 2013

Des abeilles et des hommes

Véronique LE BRIS / Non classé abeilles, développement durable, écologie, espèce, homme, monde, pollen, pollinisation, survie / 0 Comments

Dès 8 ans

Albert Einstein aurait dit que si l’abeille disparaissait du globe, l’homme n’aurait plus que quatre années à vivre. Sans envisager une échéance aussi radicale, ce documentaire suisse tente justement d’établir un bilan sur la situation des abeilles dans le monde.

Et il est catastrophique : entre 50 et 90% des abeilles ont disparu depuis 15 ans sans réelle explication. Or, un tiers de ce que nous mangeons nécessite leur intervention, puisque les fruits et légumes n’existent que par la pollinisation. Nous avons donc besoin des abeilles, c’est ce qu’il faut retenir du message brouillon de ce film. En passant d’une exploitation à une autre, en multipliant les exemples et les contre-exemples à travers le monde, on finit par perdre le fil du discours. Car, si l’auteur explique que les abeilles sont vitales, il reconnaît aussi à plusieurs reprises qu’elles sauront muter et s’adapter pour survivre, comme elles l’ont déjà fait au Brésil et aux Etats-Unis, quitte à devenir dangereuses pour l’homme. Restent que les images sont très réussies (on plonge à plusieurs reprises au cœur d’un essaim ou d’une ruche), que certaines situations sont très éloquentes – en Chine notamment, où la pollinisation se fait à la main humaine, fleur par fleur-  et qu’il semble y avoir un espoir.

De Markus Imhoof

2012 – Suisse – 1h28

En partenariat avec Grains de Sel

20 février 2013

Monstres… pas si monstrueux

Véronique LE BRIS / Non classé création, dessin animé, humour, monstres, peur, se faire peur / 0 Comments

Dès 5 ans

Jouer à se faire peur, voilà le thème qui relie les cinq courts-métrages de ce programme très varié. Nos deux films préférés sont signés du même réalisateur, Jean-Claude Rozec qui a su décliner ce penchant enfantin que l’on retrouve souvent plus tard chez les fans de cinéma.

Dans Cul de bouteille, dessiné au crayonné noir et blanc, un enfant (le réalisateur lui-même?) découvre avec horreur que le monde fantastique qu’il voyait n’a plus du tout la même saveur quand il le regarde à travers ses nouvelles lunettes de myope. Sauf que sans elles, il lui arrive de se perdre… Monstre sacré, son second film en couleur mais sans paroles, raconte l’histoire d’un jeune dinosaure né dans une couvée de canards dont il est évidemment chassé immédiatement. Sa différence sème la terreur partout où il passe… sauf à Hollywood ! Deux autres courts, Citrouille et vieilles dentelles et Bye bye Bunny préfèrent utiliser l’humour pour mieux déjouer la peur qu’ils provoquent. Le premier évoque un casting dans une maison de retraite, l’autre ce que serait le monde sans lapins. Impossible d’en dire plus pour ne pas tout dévoiler.. Enfin, le dernier film, très graphique, livre un tango endiablé sur l’opposition entre le noir et le blanc. Chacun cherchant seulement  à sauver sa peau…

De Juliette Loubières, Jean-Claude Rozec, Pascale Hecquet etc

2012 – France – 0h41

En partenariat avec Grains de Sel


20 février 2013

Pinocchio

Véronique LE BRIS / Non classé aventures, Carlo Collodi, Geppetto, Italie, mensonge, nez, Pinocchio, rapport père-fils / 0 Comments

Dès 5 ans

La plupart d’entre nous ont découvert Pinocchio dans le classique réalisé par Disney en 1940. En voici une autre version, plus contemporaine, qui a surtout le mérite de coller au plus près du conte de Carlo Collodi et à ses origines italiennes.

Le vieux Geppetto se sent bien seul. Mais, en sculptant une pièce de bois, il crée un pantin qui prend vie. Le gamin, Pinocchio, est loin d’être un enfant modèle : il est fainéant, menteur –son nez s’allonge même quand il ment-, naïf et ne tient pas en place. Au lieu d’aller à l’école, il fait de mauvaises rencontres qui vont l’éloigner de son père. Celui-ci très inquiet part à sa recherche et va même en mer pour retrouver son fils adoré. C’est là qu’il rencontrera un nouveau Pinocchio, que ses nombreuses aventures ont fait mûrir.

C’est une belle idée de donner à nouveau vie à ce classique de la littérature enfantine. Enzo d’Alo, à qui l’on doit le très beau La mouette et le chat, réalise cette nouvelle version en misant sur un dessin magnifique qui pourrait s’inscrire dans la tradition picturale de De Chirico (surtout pour les paysages). En revanche, Lucio Dalla, chanteur italien très réputé, signe une musique beaucoup trop présente pour être digeste. Un vrai bémol au film.

d’Enzo d’Alo

2012 – France/ Belgique/Italie/Luxembourg – 1h20

En partenariat avec Grains de Sel


20 février 2013

La vraie vie des profs

Véronique LE BRIS / Non classé Alexandre Jardin, Amour, boloss, ecole, journal, lascars, Marseille, paparazzi, prof / 0 Comments

Dès 11 ans

Deux lascars de 5ème sont contraints d’aller travailler avec les boloss, ceux qui écrivent et réalisent le journal de l’école. Les premiers vont imposer leurs méthodes aux seconds : ok, on raconte la vie de l’école, mais tous ses aspects, même la vie très privée des profs.

Autant de sujets tabous qui vont donc exposer à la connaissance de tous, vidéos postées sur le web à l’appui. Mais, en allant fouiller dans les poubelles de leurs enseignants (au sens propre et figuré), les lascars vont mettre le collège en danger. Rarement, un film aura été aussi racoleur dans la forme comme dans le fond et aussi nauséabond dans son discours. On parle souvent de la presse de caniveau, ici c’est le cinéma qui rejoint ce niveau avec une vulgarité déconcertante. Inutile de s’attarder sur le mauvais jeu des acteurs, la pauvreté de l’écriture ou de la réalisation, tant le sujet en lui même de ce film est inconvenant. Filmer sans scrupule des gamins de 12 ans jouant les pires paparazzis et tenter de racheter leur faute au nom de l’amour est en-deça de tout. Rien ne sauve, ni le parrainage d’Alexandre Jardin (auteur de l’idée originale), ni son ton de comédie, ni surtout sa morale à deux balles : « la vie est trop courte pour être petite ».

Avec Emir Seghir, Sami Bouzid, Maëva Arnoux, Lucien Jean-Baptiste…

2012 – France – 1h40

En partenariat avec Grains de Sel


Michael Haneke, réalisateur d'Amour
20 février 2013

Michael Haneke

Véronique LE BRIS / Non classé Amour, César, Michael Haneke, Oscars, Palme d'Or, prix, réalisateur, récompense / 0 Comments

Michael Haneke, réalisateur d'AmourDouceur sadique

Ce qui frappe le plus quand on rencontre Michael Haneke, c’est la douceur extrême avec laquelle il vous accueille et vous répond, en opposition totale avec la violence montrée ou cachée de ses films. Comme si son cinéma servait à évacuer ses bas instincts et le rendait plus serein. Alors que ses films ont exactement l’effet inverse sur ses spectateurs.

Amour, son dernier film, primé cinq fois aux César, sacré de l’Oscar du meilleur film étranger et Palme d’Or à Cannes 2012, n’échappe pas à cette règle. Dans la salle, autour de moi, tout le monde pleurait, ému par le destin à la fois terrible et finalement si humain de cette femme, Anne, jouée par Emmanuelle Riva, que son mari tente tant bien que mal d’aider à partir dans une certaine dignité. On a déjà tout dit que la manière directe, brutale, méthodique, disons clinique avec laquelle Michael Haneke filme et Amour n’échappe pas à la règle. Rien ne nous est épargné, on plonge au coeur du quotidien d’une mourante et son agonie nous est montrée en détail.

Voilà la méthode Haneke, celle qu’il déjà utilisée pour Le Ruban Blanc, autre Palme d’or cannoise, en 2009 celle-là, où il filmait toujours aussi méthodiquement la vie quotidienne d’un village allemand en 1919 en tirant, plus métaphoriquement, l’idée que ce lieu, les méthodes d’éducation qui y avaient cours, seraient le gisement du nazisme qui allait détruire l’Europe quelques années plus tard.

Le poids des racines

Michael Haneke est allemand, né à Munich en 1942, élevé (et c’est peut-être encore plus lourd à porter) à Vienne où il a fait ses études de psychologie, de philosophie et de science du théâtre. Il a d’abord commencé à travailler à la télé et au théâtre justement, ne réalisant son premier film qu’à l’âge de 46 ans, Le septième continent en 1989. Suivront Benny’s video en 1992, 71 fragments d’une chronologie du hasard en 1994, Le château adapté de Franz Kafka en 1997 et Funny Games, la même année qui lui vaudrait sa première sélection cannoise et donc une marge reconnaissance internationale. Dans ce film, où deux jeunes gens apparemment bien sous tout rapport, déchaînent sans limite et gratuitement leur violence sur une famille en week-end dans sa maison de campagne, Haneke adopte les mêmes principes de filmage que pour Amour : une caméra frontale, descriptive, qui n’épargne rien ou à peu près avec un sadisme voyeuriste revendiqué. Il en fera lui-même un remake plan par plan aux Etats-Unis en 2007 qui n’a, ici, à peu près pas d’intérêt, le but étant d’assurer sa promotion à Hollywood, selon la stratégie américaine bien connue.

Code inconnu, son film suivant (2000) marque sa première collaboration avec une production et des acteurs français, en l’occurrence Juliette Binoche, Thierry Neuvic, en autres. La pianiste, en 2001, marque le début de ses consécrations cannoises, le film remportant le grand prix du jury et les deux prix d’interprétation, l’un pour Isabelle Huppert, sa nouvelle actrice favorite, l’autre pour Benoit Magimel. Suivront Le temps du loup en 2003, puis le subtil Caché en 2005, avec à nouveau Juliette Binoche accompagné de Daniel Auteuil et de tout un cas français.

Nul doute que son cinéma, depuis Funny Games, a ensuite pris une nouvelle dimension. Celle d’un réalisateur exigeant, qui montre dans leur réalité brute et sans concession des sujets dérangeants, concernants aussi installant dans le rôle de la victime consentante, le spectateur, lui s enlaçant aux commandes d’une manipulation qui ne dit pas son nom. Et pourtant…

Ne serait-ce que pour la persévérance de sa démarche, Michael Haneke mérite qu’on s’attarde sur son talent. Mais, attention, vous n’en sortirez pas indemne. On vous aura prévenu…

20 février 2013

Lore

Véronique LE BRIS / Non classé 0 Comments

De Cate Shortland

Comment échapper à l’emprise de son éducation et est-on à jamais responsable des crimes de ses parents? C’est à cette double question que la réalisatrice australienne Cate Shortland tente de répondre ici. Et pour cela, elle va au bout de sa démarche en prenant comme héroïne, Lore, une jeune allemande, fille d’un haut dignitaire nazi.

A la fin de la seconde guerre mondiale, sa famille au complet est contrainte à la fuite. Très vite, les parents disparaissent et laissent à Lore, alors adolescente très privilégiée, la lourde charge de protéger ses quatre frères et soeurs en les amenant près d’Hambourg où réside leur grand-mère. Dans un chaos total, la jeune fille et les siens doivent traverser le pays comme ils le peuvent, souvent à pied, affamés, en se cachant des militaires allemands ou russes. Un jeune homme lui vient en aide, mais il est juif. C’est-à-dire atout ce que ses parents lui ont appris à détester, à mépriser… Au fur et à mesure de leur longue errance, Lore et ses frères et soeurs vont découvrir un monde, la guerre, qu’ils ne soupçonnaient même pas, et commencer à avoir une nouvelle vision de leur univers étriqué. Mais, auront-ils les réponses à leur question? Rien n’est moins sûr…

Inspiré du roman anglais La Chambre noire de Rachel Seiffert, l’histoire de Lore est évidemment exemplaire, captivante et on regrette que ce sujet soit finalement assez peu traité au cinéma. En collant au plus près de son héroïne, la réalisatrice a pris le parti d’un traitement très « auteuriste », multipliant les très gros plans pour ne pas perdre son personnage. C’est vraiment dommage… Une juste distance aurait permis d’éviter ce maniérisme inutile ici et aurait donné une dimension plus universelle à un sujet qui le méritait amplement. Là, elle navigue entre une nature hostile mais superbement filmée et des plans mal définis où l’on se perd. Ainsi, ce film devient-il une oeuvre et non pas la référence qu’il méritait d’être. Ce qui ne l’a pas empêché de recevoir le Prix du public au festival international de Locarno en août 2012.

Avec Saskia Rosendhal, Kai Malina, Ursina Lardl.

2012 – Allemagne/Australie – 1h48.


13 février 2013

Flight

Véronique LE BRIS / Non classé alcool, avion, bonen conscience, crash, Denzel Washington, drogue, Pilote, rédemption, Robert Zemeckis, vie / 0 Comments

De Robert Zemeckis

Whip Whitaker, un pilote d’avion chevronné parvient, grâce à son habileté et à sa compétence, à sauver un maximum de vies humaines lors d’un crash aérien. Mais, les analyses sanguines qu’il subit alors prouvent qu’il avait bu et consommé de la drogue. Il risque la prison à perpétuité. Ce qui, pourtant, pourrait s’avérer moins lourd à porter que de continuer à vivre dans le déni et dans le mensonge.

Flight est donc l’histoire d’une résurrection comme les adorent les Américains. Celle d’un homme apparemment puissant mais finalement faible, qui va apprendre par les épreuves qu’il vaut mieux pouvoir se regarder dans la glace que de vivre constamment dans le mensonge. Bref, qu’avoir bonne conscience est LA condition nécessaire pour être heureux.

Mais, Flight c’est aussi une manière assez originale de le prouver, à travers le destin d’un homme imparfait, donc attachant, un type qui joue bien plus avec sa vie qu’avec celles de ceux dont il a la responsabilité et qui n’existe pas dans la vie, mais est une synthèse de plusieurs hommes (pas tous des pilotes d’ailleurs) existants. Et comme c’est Denzel Washington qui l’interprète, il passe par à peu près toute la palette des émotions possibles et inimaginables et donne corps à un personnage insolite, inédit, intéressant. Et, Robert Zemeckis, que l’on attendait plus dans un tel registre tant il semblait happé par la motion capture et toutes les nouvelles techniques de réalisation, a la sagesse de ne pas en faire des tonnes, mais plutôt de raconter son histoire sagement, sobrement. Mission accomplie donc, sans surprise toutefois.

Avec Denzel Washington, Don Cheadle, Kelly Reilly, John Goodman, Melissa Leo… 

2012 – USA – 2h18

13 février 2013

Rose et Violette

Véronique LE BRIS / Non classé cirque, décor, dessin, dessin animé, fantastique, histoire, siamoise, soeur, tricot / 0 Comments

Dès 6 ans

Pas de thème commun pour ce programme de trois courts-métrages, mais bien une même démarche : mettre en avant la recherche graphique de l’animation actuelle. Chacun des films a son style et tous ont apporté un soin particulier à leur décor, à leur dessin, à leur ambiance visuelle.

La chose perdue, le premier film, stylise dans une sorte d’aquarelle un monde post-moderne, mélange de friche industrielle et de plage, qui colle parfaitement au ton un peu fantastique de son histoire. Un jeune garçon solitaire trouve La Chose puis lui cherche un foyer pour la protéger. Mais, la Chose n’est pas banale et assez envahissante. Le second film a pour héros Alexander, un tricoteur perché avec ses moutons au-dessus des nuages et qui, un jour, tombe de haut. Il passe alors des cieux aux tréfonds dans un conte humoristique où fils et aiguilles auront leur rôle à jouer. Enfin, Rose et Violette, le plus long des trois, raconte le destin de deux sœurs siamoises, engagées par un cirque pour un numéro exceptionnel d’acrobaties. Leur succès est immense jusqu’au jour où l’amour s’en mêle. Fort de personnages aux formes bizarres, ce film mise sur l’univers coloré du cirque qu’il oppose à la grisaille ambiante pour éclairer sa version optimiste, généreuse de l’existence. C’est à la fois triste et joyeux.

Du studio Folimage

2010/2011 – France/Australie- 0h41

En partenariat avec Grains de Sel

13 février 2013

Les Misérables

Véronique LE BRIS / Non classé Amour, Anne Hathaway, comédie musicale., Cosette, émeute, Javert, Les Misérables, misère, révolutionnaire, Russel Crowe, Tom Hooper? Hugh Jackman, Valjean, vengeance, Victor Hugo / 0 Comments

De Tom Hooper

Impossible quand on est un (jeune) français d’ignorer trop longtemps ce chef d’oeuvre de Victor Hugo. Ce film, directement inspiré de la comédie musicale créée à Paris par Robert Hossein puis adaptée à la scène anglaise en 1982, est un honnête moyen de se familiariser avec l’histoire et les personnages de ce roman fleuve et peut-être donc d’avoir un jour envie de le lire.

L’histoire reprend donc celle de Jean Valjean, condamné à 19 années de bagne pour avoir voler un pain. Devenu riche, digne et très généreux, Valjean sera poursuivi toute sa vie durant par un policier intraitable, Javert. Nous sommes en 1832, la pauvreté gangrène la société, l’époque est révolutionnaire et tente de faire vaciller la monarchie.

Tout cela est repris dans cette comédie musicale dont on peut saluer l’ambition. Certes, les décors (recrées en grande partie en Angleterre) ne sont pas tout à fait réalistes, mais l’ensemble donne une très bonne idée de l’époque et du contexte. Le vrai problème, c’est la musique signée Boublil et Schönberg qui finit par être tellement envahissante qu’elle en devient insupportable. Le reste, mis en scène par Tom Hooper, le réalisateur du Discours du Roi, est plutôt d’excellente tenue.

Avec Hugh Jackman, Russell Crowe, Anne hathaway, Amanda Seyfried, Helena Bonham arter, Sacha Baron Cohen…

2012 – USA – 2h30

En partenariat avec Grains de Sel


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