Alice Guy
Des films d’Alice Guy sur grand écran, c’est possible? Oui. Trois programmes de ses films français et américaines accompagnent la sortie du documentaire Be natural, le 22 juin 2020.
Les films que Ciné-Woman recommande… ou pas.
Des films d’Alice Guy sur grand écran, c’est possible? Oui. Trois programmes de ses films français et américaines accompagnent la sortie du documentaire Be natural, le 22 juin 2020.
Cinq ans après Human, Yann Arthus-Bertrand recentre son propos sur les femmes. Avec Woman, il leur donne la parole, les écoute et confie même la caméra à une équipe entièrement féminine. Formidable!
Marjane Satrapi adapte Radioactive, un roman sur la vie de Marie Curie, son génie, ses inventions et leurs conséquences. Décevant.
Complément au best-seller de l’économiste Thomas Piketty, le documentaire Le Capital au XXIème siècle revient sur la construction des inégalités depuis l’ère industrielle et explique comment mieux taxer le capital permettrait de les atténuer. C’est clair, utile et passionnant.
De la sexualité masculine, on sait à peu près tout. De la sexualité féminine, à peu près rien. Mon nom est clitoris de Lisa Billuart Monet et Daphné Leblond en offre une exploration salutaire.
Agnieszka Holland, polonaise, a toute sa vie de cinéaste renvoyé dos à dos Hitler et Staline. Avec L’ombre de Staline, elle révèle l’Holodomor ou la famine organisée de l’Ukraine au début des années 1930.
Lors de sa sortie du 11 mars 2020, La bonne épouse de Martin Provost affichait une insolente bonne santé : 170 000 entrées en moins d’une semaine. Ce qui laissait présager d’une belle carrière en salle. Le film ressortira donc le 22 juin 2020, à la réouverture des salles.
Be natural, l’histoire cachée d’Alice Guy-Blaché, le documentaire de l’américaine Pamela B. Green, sort enfin le 22 juin 2020 sur les écran français. Ultime étape d’un parcours parsemé d’embûches.
Avec Madre, le réalisateur Rodrigo Sorogoyen ouvre une nouvelle page de sa filmographie : moins politique, plus émotionnelle mais aussi intense.
Betty Boop, l’une des premières vedettes féminines de l’animation, incarne autant une jeune femme sexy et sexuelle qu’une icône de #metoo. C’est la thèse que Claire Duguet défend dans son film, Betty Boop for ever. A voir sur Arte.