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22 août 2012

Sur la piste du Marsupilami

Véronique LE BRIS / Non classé Alain Chabat, film, Franquin, humour, Jamel Debbouze, Marsupilami, Palombie / 0 Comments

Dès 10 ans

Le Marsupilami par Alain Chabat, l’affiche est alléchante. Est-ce le temps –dix ans- qu’il a fallu pour monter le projet, la difficulté de centrer le film sur l’animal imaginé par Franquin, un scénario raté ou simplement une fausse bonne idée ? Le film est une pochade sans intérêt fidèle à l’univers gentiment absurde d’Alain Chabat. Il y joue un journaliste veule et pistonné qui doit rapporter un scoop pour continuer à paraître à l’antenne. Il part donc en Palombie, guidé par Pablito (Jamel Debbouze) et se retrouve de fil en aiguille à rechercher le Marsupilami que personne n’a jamais vu.

 Ce serait une lourde erreur de croire que le film est adapté aux enfants : les gags sont lourds et de mauvais goût, l’humour dépassé et l’histoire tient à un fil. Rien à voir avec Astérix & Obélix, Mission Cléopâtre, resté lui très amusant.

D’Alain Chabat, avec Jamel Debbouze, Alain Chabat, Géraldine Nakache, Fred Testot, Aïssa Maïga, Lambert Wilson, Patrick Timsit…

2012 – France – 1h45

En partenariat avec Grains de Sel


25 juillet 2012

Target

Véronique LE BRIS / Non classé action, agent secret, CIA, coq, jalousie, lutte, macho, sexe / 0 Comments

La note Cine-Woman : 0/5

 de McG 

Une trentenaire bien roulée, deux amants compagnons inséparables à la vie, à la mort, au boulot et en dehors : FDR et Tuck forment l’équipe d’agents secrets la plus soudée qui soit. En tombant amoureux de la même femme, ils découvrent la jalousie et se livrent à un véritable combat de coqs. L’un est moche, père de famille, mal divorcé et anglais (Tom Hardy), l’autre est célibataire, fêtard, beau gosse et dispo (Chris Pine)… Lequel va-t-elle donc choisir? Le suspense est vraiment intolérable! Même si les dialoguistes se sont amusés à faire parler la meilleure amie de la « cible » (la Target du titre) comme un vrai charretier, personne ne s’amuse, épuisés que nous sommes par la rivalité mesquine des 2 mâles, par la surenchère de leurs coups-bas pour dézinguer l’autre et faire chavirer le coeur de demoiselle, jouée par Reese Witherspoon qui fait le job, sans plus. Au mieux, ce film se résume à une dose forte de testostérone pour mâles défaillants. Rien de séduisant là-dedans. On passe donc, vite fait!

Avec Reese Witherspoon, Chris Pine, Tom Hardy

2012 – USA – 1h40


11 juillet 2012

John Carter

Véronique LE BRIS / Non classé 0 Comments

La note Cine-Woman : 1/5

Dès 10 ans

Il y a tout juste cent ans, en 1912, Edgar Rice Burroughs, le créateur de Tarzan, publie le Cycle de mars, une série de récit de science-fiction qui se déroule sur la planète Mars. John Carter est l’adaptation du premier livre de cet ensemble, Une princesse de Mars.

John Carter est aussi un héros, un aventurier qui a déserté  l’armée américaine juste après la guerre de Sécession, pour chercher de l’or en Arizona. Un jour, alors qu’il est attaqué par des Apaches, il se retrouve un jour transporté sur une autre planète, Barsoom (Mars). Il y arrive alors qu’elle est ravagée par un conflit entre le méchant Tars Tarkas et la belle Dejah Thoris, l’une voulant préserver ce que l’autre veut soumettre son autorité : Hélium. Carter ne pourra pas rester longtemps indifférent et il va vite choisir son camp. A ses risques et périls.

 Il faut aimer la science-fiction, les monstres bizarres, les créatures informes et les enjeux de pouvoir pour apprécier cette épopée. Las batailles, nombreuses, sont très spectaculaires (surtout en 3D) comme l’est le paysage lunaire où se passe les trois-quarts du film. Une fresque d’heroic fantasy savamment reconstituée. A recommander aux adeptes, les autres s’ennuieront.

D’Andrew Stanton

Avec Taylor Kitsch, Lynn Collins, Samantha Morton, Willem Dafoe, Mark Strong, Ciaran Hinds, Dominic West…

2012 – USA – 2h20

En partenariat avec Grains de Sel

Hagar Ben Asher dans La femme qui aimait les hommes
9 juillet 2012

The Slut

Véronique LE BRIS / Mon blog Amour, réalisatrice israélienne, sexe, slut, titre, traînée / 0 Comments

Hagar Ben Asher dans La femme qui aimait les hommesSe méfier des titres

Un ami M., critique culturel dans un hebdo, m’avait donné rendez-vous, un sourire au coin des lèvres, pour venir avec lui à la projection de La femme qui aimait les hommes. En anglais, le film s’appelle The Slut, ce qui est autrement plus évocateur, plus alléchant. The Slut, la traînée, la salope qui devient en français politiquement correct, La femme qui aimait les hommes.

La gourmandise de M. m’amusait. Car, plusieurs indices me disait qu’il avait fait fausse route. L’attachée de presse, d’abord, qui a plutôt en catalogue des films d’auteurs ultra-pointus, jamais racoleurs. Le fait que le film ait été projeté à la Semaine de la Critique en 2011 et enfin que le projet soit un pur produit de la Cinéfondation, ce laboratoire de futurs talents cannois généralement peu portés sur la chose… enfin si, mais jamais de façon publique, et surtout jamais en faisant des films sulfureux, porno sur les bords ou sensuellement torrides. Et cela, d’autant mois que derrière le nom ambigu du metteur en scène, Hagar Ben Asher, se cache une actrice israélienne.

J’avais raison. Pour faire court, cette femme qui aime les hommes est effectivement une femme à la sexualité libérée, qui couche avec tout un tas de types à condition qu’ils ne s’attachent pas mais peine à se satisfaire d’un seul homme qui l’aime.

Sauf que la fameuse croqueuse d’hommes est une fermière, vendeuse d’oeufs à la campagne, qu’elle se balade en vélo, en bottes en caoutchouc.. et est donc assez éloignée du stéréotype de la bombe sexuelle!!! Sans compter que le film est un peu ennuyant, malgré quelques belles scènes de sexe.

M. est donc reparti avec le sentiment de s’être fait avoir! Beau joueur, il l’a même écrit sur Facebook!

Le film n’a évidemment pas l’ambition de « défoncer » le box-office de l’été. Mais, sur un malentendu, on ne sait jamais, ça peut marcher…

Photo prise par Charlotte Rampling au Japon en 1979
8 juillet 2012

Expo Charlotte Rampling

Véronique LE BRIS / L'expo Charlotte Rampling, Chine, Helmut Newton, Jean-Michel Jarre, Peter Lindbergh, photographies / 0 Comments

Photo prise par Charlotte Rampling au Japon en 1979Derrière le regard

Avant d’être une actrice, l’anglaise Charlotte Rampling fut un mannequin, une mère de famille, la femme du musicien Jean-Michel Jarre et surtout… un oeil! Et pas que celui du regard envoûtant qui est sa marque de fabrique ! Non, Charlotte Rampling est un œil, un vrai, celui d’un photographe qui a su saisir l’enfance en suivant ses fils, l’âme de ceux qui l’ont entouré à différents moments de sa vie et qu’elle dévoile ainsi un peu dans cette exposition que la Maison européenne de la Photographie (MEP) lui consacre jusqu’au 26 août.

Cette intrusion dans la personnalité de Charlotte Rampling se décline en trois temps : quelques photos plus ou moins célèbres où elle l’objet du cliché. On salue le talent de Peter Lindbergh pour l’avoir dévoilée à la fois mystérieuse, inaccessible ou celui d’Helmut Newton pour l’avoir rendue sulfureuse.

Dans la seconde salle on découvre la photographe. Son reportage en Chine quand Jean-Michel Jarre enflammait la scène et qu’elle se promenait à la rencontre de la population est le plus touchant, le plus intéressant, même si c’est aussi le plus court des deux diaporamas proposés.

Enfin, la troisième salle de cette courte exposition dont l’ambiance sonore est signé de son ancien compagnon, est une série d’autoportraits que Charlotte Rampling a choisis dans la collection de la MEP. Et certains, comme celui de Nan Goldin valent vraiment le détour…

Visite < 30 mn

Maison européenne de la Photographie

Jusqu’au 26 août 2012


26 juin 2012

La vie d’une autre

Véronique LE BRIS / Non classé ambition, amnésie, Amour, divorce, efficacité, femme, quarantenaire, réussite / 0 Comments

La note Cine-Woman : 3/5

 de Sylvie Testud 

Tout avait très bien commencé. Marie avait convaincu Dimitri Speranski de l’embaucher dans sa société et elle était immédiatement tombée amoureuse de Paul, son fils. Pourtant, quand elle se réveille le jour de ses 40 ans, Marie a tout oublié… ou presque. Elle ne se souvient que de sa rencontre avec Paul mais absolument pas des 15 années qui ont suivi. C’est à peine si elle reconnaît Adam, son fils, l’appartement majestueux où elle habite, le bureau de Paul, son poste prestigieux à la tête de la société Speranski, ses collaborateurs, sa vie…

 Pour son premier film en tant que réalisatrice, Sylvie Testud a choisi d’adapter le livre éponyme de Frédérique Deghelt mais n’a pas opté pour la facilité. Car, rien ne semblait moins cinématographique que cette brutale amnésie qui pousse cette femme fatiguée à remettre en cause son existence passée. C’est d’ailleurs une des limites de la première partie du film. Quand Marie, interprétée par une Juliette Binoche qui en fait des tonnes (et c’est dommage), se réveille ce matin-là, quand elle découvre son fils (beaucoup trop parfait, quasiment tête à claques!) et se rend compte de sa vie quotidienne d’alors, le film est vraiment poussif. On traîne dans une interminable succession de scènes pseudo-comiques qui sont d’un bien faible intérêt. En revanche, dès que l’on comprend que ce choc traumatique est aussi et surtout le fait de sa rupture amoureuse d’avec son mari, le dessinateur Paul, brillamment et sobrement interprété par Mathieu Kassovitz (quel acteur! ), le fait qu’elle lui ait imposé le divorce dans l’exigence d’efficacité qu’est devenue sa vie, quand elle chancelle en comprenant la nouvelle de la mort de son père, le film prend alors une dimension dramatique, juste, touchante, émouvante même. On délaisse alors les à-priori négatifs qui nous avaient fait rejeter cette Juliette Binoche à contre temps, pour prendre en empathie cette femme brusquement usée, sans repère… Impossible alors de ne pas s’identifier à cette battante qui a brûlé sa vie par désir de réussir et qui s’aperçoit que celle-ci a un prix, fort, très fort même et qu’elle aurait sans doute dû avoir la sagesse de prendre du recul pour ne pas gâcher ce qui, finalement, lui était le plus cher.

Avec Juliette Binoche, Mathieu Kassovitz, Aure Atika, Yvi Dachary, Danièle Lebrun…

2011 – France – 1h37


20 juin 2012

Voyage au centre de la terre 2

Véronique LE BRIS / Non classé 3D, action, Dwayne Johnson, épique, Jules Verne, L'île mystérieuse, Michael Caine, Vanessa Hudgens, voyage / 0 Comments

Voyage au centre de la terre 2

Dès 10 ans

Sam, 17 ans, reçoit un message de détresse codé provenant d’une mystérieuse île du Pacifique. Avec l’aide de Hank, son beau-père, un ancien Marine, il découvre que le message a été envoyé par son grand-père, grand fan de Jules Verne, et que celui-ci l’invite à le rejoindre sur cette fameuse île. Ne faisant ni une, ni deux, Sam et Hank s’embarquent pour l’inconnu mais découvrent, aussitôt arrivés dans ce paradis, qu’il leur faut repartir. Et chaque voyage est une aventure plus que périlleuse… 

Le film, plus spectaculaire en 3D tant les décors et les paysages imaginaires ont été filmés pour, repose sur un étonnant mélange de plusieurs oeuvres de Jules Verne : L’île mystérieuse, Vingt mille Lieues sous les mer et Voyage au Centre de la Terre, sans être fidèle à aucune. L’aventure est menée tambour battant – en moins de 20 mn, les héros sont arrivés sur l‘île-. Ce film d’épopée ne prend le temps de s’’embarrasser ni de détails, ni du moindre effet de suspense. Sans être incontournable, il reste un moyen facilement accessible de prendre contact avec l’univers de Jules Verne. Sans subtilité certes mais avec une redoutable efficacité. Une suite est déjà annoncée : cette fois, il s’agira d’un voyage De la Terre à la Lune.

De Brad Peyton, avec Vanessa Hudgens, Dwayne Johnson, Josh Hutcherson, Michael Caine

2012 – USA – 1h33


13 juin 2012

Recherche bad boys désespérément

Véronique LE BRIS / Non classé action, distraction, feel good movie, féministe, héroïne, Katherine Heigl, rire, série, Stéphanie Plum / 0 Comments

La note Cine-Woman : 3/5

de Julie Anne Robinson

Vous connaissez Stéphanie Plum? Pour celles qui comme moi n’en ont jamais entendu parler, Plum est, depuis 1994, l’héroïne d’une série de dix-huit romans écrits par l’écrivain américaine Janet Evanovich. Pas une super-héroïne, juste une femme trentenaire bien dans ses bottes, nulle en cuisine, qui n’a pas honte de se montrer nue pour convaincre les hommes qu’elle est capable de tout, tout en vivant mal sa relation de dépendance à sa famille décalée mais envahissante. Bref, une fille sympa, pas trop mal dans sa peau, entreprenante et astucieuse… à laquelle on a l’irrésistible envie de s’identifier. Stéphanie Plum passe pour la première fois sur grand écran, dans une adaptation du premier de ses romans, La prime.

Récemment virée de son travail de vendeuse de lingerie, elle n’a plus un sou et plutôt que d’épouser le bon mais très vilain parti que lui présentent ses parents, elle réussit à convaincre son cousin agent de cautionnement, de lui confier une mission. Elle s’improvise donc chasseuse de prime, chargée d’arrêter Joe Morelli, un flic en cavale car suspecté de meurtre, par ailleurs beau gosse qui l’avait plaquée au lycée. Mission quasi impossible donc… Honnêtement, le film ne commence pas super bien, surtout quand on ne connaît pas la gazelle Plum. Et franchement, Katherine Heigl n’est pas à son avantage avec son énorme couche de fond de teint tentant de camoufler son acné. Puis, le film devient amusant, avec une intrigue complètements secouée et un contexte si banal qu’il en devient farfelu. Finalement, sans doute parce que l’action, même si elle est bien ficelée et très rythmée, n’a pas la priorité sur le personnage, on se laisse emporter par ce divertissement, pas coincé du tout, décomplexé, presque féministe même!  Ca donne tout de suite envie de dévorer toute la série. Rafraîchissant, vraiment.

Avec Katherine Heigl, Jason O’Mara, Daniel Sunjata, John Leguizamo, Sherri Shepherd, Debbie Reynolds…

2012 – USA – 1h31

9 juin 2012

Une bouteille à la mer

Véronique LE BRIS / Films, Mon blog adolescence, Agathe Bonitzer, amitié, attentat, conflit israélo-palestinien, Gaza, guerre, Hiam Abbas, solution / 0 Comments

Pour appréhender par elle-même le conflit israélo-palestinien, une adolescente de Jérusalem envoie une bouteille à la mer de Gaza. Un jeune homme lui répond et lui explique…

Lire la suite
6 juin 2012

Café de Flore

Véronique LE BRIS / Non classé Café de Flore, cinéma québécois, divorce, femme délaissée, Jean-Marc Vallée, Kevin Parent, mère abusive, trisomie, Vanessa Paradis / 0 Comments

La note Cine-Woman : 2/5

   de Jean-Marc Vallée

Déroutant, c’est le sentiment le plus partagé à la vision du nouveau film de Jean-Marc Vallée. Déroutant, et franchement long à démarrer! On allait le coeur léger voir le second film du réalisateur du génial  C.R.A.Z.Y, encore plus alléchés par la présence rare de Vanessa Paradis au cinéma. Le titre, enfin, une évidence, Café de Flore, en référence trompeuse à un célèbre bar, que dis-je à une référence absolue de la culture germanopratine et donc de la culture française. 

On y allait le coeur léger, et on se trompait. C’est au plus profond des méandres des âmes que Jean-Marc Vallée a choisi d’aller errer. Deux histoires en un film qu’on ne reliera qu’avec beaucoup d’attente et beaucoup de mal. La première débute dans les quartiers populaires de Paris, où une jeune coiffeuse élève seule son petit garçon trisomique. La seconde se passe à Montréal aujourd’hui, où un homme encore jeune se sépare de sa femme et commence dans la douleur une nouvelle relation avec une jeune femme. Dans un montage en parallèle assez rythmé -c’est déconcertant parfois la manière dont on passe d’une histoire à l’autre même si les transitions sont très travaillées-, l’histoire évolue donc au rythme d’un amour étouffant d’un côté et d’une déconstruction sentimentale et presque identitaire de l’autre. Puis le film devient ésotrico-mystique et là, on n’y croit plus.

Restent alors une batterie de questions sans réponses : pourquoi ces histoires-là? pourquoi Paris, puis Montréal? comment croire à ce parallèle? Pourquoi la musique est-elle une fois encore si présente et si bonne? Pourquoi tant de ciel? Pourquoi tant de ralenti? Pourquoi tant d’amour et de désamour?

Une seule chose nous convainc vraiment : les acteurs sont au top. Vanessa Paradis bien sûr, le petit Marin Gerrier ainsi que Kevin Parent, musicien reconnu mais débutant au cinéma, mais surtout ses deux compagnes à l’écran, inconnues ici mais réputées au Québec, Hélène Florent (la brune) et Evelyne Brochu (la blonde). En femme délaissée qui n’arrive même plus à vivre, la première est éblouissante, quand le seconde est plus subtile qu’une simple bombe sexuelle.

avec Vanessa Paradis, Kevin Parent, Hélène Florent, Evelyne Brochu, Marin Gerrier

2010- France/Québec – 2h00

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