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30 mai 2012

Les papas du dimanche

Véronique LE BRIS / Non classé divorce, famille recomposée, homme, la Rochelle, Louis Becker., reconstruction / 0 Comments

La note Cine-Woman : 1/5

de Jean Becker

Encore un film sur le divorce, vu du point de vue du père cette fois-ci. Ou comment un mari et père perd sa femme, sa famille et son boulot quand son associé se met en ménage avec son ex-épouse. Commence alors la longue reconquête du goût de vivre, de la reconstruction d’abord auprès de ses enfants qu’il héberge un weekend sur deux puis pourquoi pas auprès d’une nouvelle compagne. 

Ici, on assiste à tout. A la dépression qui suit la rupture, à la reconquête de la dignité d’un homme à terre, à son entêtement à ne plus s’autoriser à être heureux jusqu’au jour où… Sans aucune surprise toutefois, si ce n’est que pour une fois, la victime est un homme, interprété par un Thierry Neuvic étalant son malheur et ses mauvaises humeurs sans inspiration. Pour le reste, Louis Becker, le réalisateur de ce film revendiqué comme faussement autobiographique, enfile les scènes attendues les unes derrière les autres. Jamais on ne doute qu’une femme scellera à nouveau son destin au sien. A voir si on a besoin de se réconforter en confrontant son expérience à la sienne, ou bien par compassion, pour se dire qu’un homme peut être détruit par une histoire de couple qui finit mal. Mais ça, on le savait déjà.

Avec Thierry Neuvic, Hélène Fillières, Olivier Baroux, Maryline Canto.

2010 – France – 1h30


30 mai 2012

L’amour dure 3 ans

Véronique LE BRIS / Non classé Amour, autobiographie, Beigbeder, coup de foudre, divorce, Gaspard Proust, humour, littéraire, Louise Bourgoin, Michel Legrand / 0 Comments

La note Cine-Woman : 4/5

de Frédéric Beigbeder

Voilà bien plus que 3 ans que l’on attendait que Frédéric Beigbeder s’exprime sur grand écran. Certes, il avait déjà signé l’adaptation de 99 francs, quelques apparitions, des scénarios et un paquet de pubs. Cette fois, il passe aux commandes. 

On lui sait gré d’ailleurs de ne pas s’être précipité sur le premier miroir aux alouettes venu. A 46 ans, un peu calmé sans être complètement rangé des voitures, le trublion du monde littéraire français, le dépoussiéreur de talents, le fêtard invétéré, le maître de la frustration maîtrisée, l’amoureux de l’amour revendiqué saute le pas. Sans trop de risques puisqu’il adapte un roman qu’il connaît bien pour l’avoir écrit. Et vécu.

Dévasté par son divorce après 3 ans d’amour, Marc Marronnier, un critique littéraire et chroniqueur nocturne qui ressemble en tout point à Beigbeder, rencontre sans s’y attendre une tourbillonnante créature, Alice. Autant lui est désabusé par la vie, mais surtout par le mariage ou les amours ratées, autant elle est belle, virevoltante… vivante. Bref, et alors qu’il vient d’écrire un best-seller sur ses doutes, il commence une passion. De trois ans, sans doute.

Beigbeder avait raison de se méfier de ce cadeau empoisonné que lui offre sa notoriété, ses réseaux etc… Mais, comme il est bien plus intelligent que ça, il a réussi à déjouer quasiment tous les pièges pour signer un premier film dont il peut légitiment être fier. Il est inventif quand il met en scène ses propres citations dans une ronde séduisante, perspicace quand il traite l’amour en sujet scientifique, surprenant quand il revendique ses goûts cinématographiques et tête à claques quand il médite ou cite un peu trop ses références (nous aussi on adore Michel Legrand mais bon) … Non content de savoir nous toucher avec son héros bancal, il organise des joutes verbales avec un talent comique qu’on lui reconnait volontiers et un art du dosage pertinent. Bref, ce galop d’essai est une réussite. La sienne surtout.

avec Louise Bourgoin, Gaspard Proust, Joey Starr, Jonathan Lambert, Frédérique Bel, Nicolas Bedos, Bernard Menez, Annie Duperey, Valérie Lemercier

2010 – France – 1h38

23 mai 2012

Millenium

Véronique LE BRIS / Non classé Daniel Craig, David Fincher, femme, homme, meurtre, Millenium, Rooney Mara, Suède, thriller / 0 Comments

La note Cine-Woman : 3/5

Les hommes qui n’aimaient pas les femmes

de David Fincher

Son sous-titre provocateur légitime à lui seul que Cine-Woman s’intéresse de près à Millenium, version David Fincher, réalisateur réputé pour filmer plus souvent la testostérone que les femmes. Pour tout dire, elles sont quasiment inexistantes de son univers.

Bonne surprise ici. Dans le remake du film suédo-danois signé Niels Arden Oplev, lui même inspiré de la géniale trilogie de Stieg Larsson, LA femme, la fameuse Lisbeth Salander, interprétée par l’inconnue Rooney Mara, (moins épatante que la Noomi Rapace du premier film) vole la vedette au James Bond actuel, Daniel Craig.

C’est vrai que Stieg Larsson avait su inventer cette héroïne hors normes dans ses livres. Moins dans le premier tome, que dans les deux suivants. Mais quand même : son vrai héros, son double était bien ce journaliste roi de l’investigation suédois, Mikael Blomkvist. Un homme certes assez facile à séduire…

Ici, c’est Lisbeth qui mène la danse, qui dénoue les énigmes, bref qui porte la culotte.

L’histoire, pour les rares qui sont passés à côté des livres, est celle d’un journaliste condamné à n’avoir pas réussi à réunir suffisamment de preuves pour faire tomber un respectable escroc suédois. A peine libéré, il est convoqué pour dénouer une énigme industrio-familiale vieille de plus de 40 ans. Il n’y parviendra qu’avec l’aide de Lisbeth, la hackeuse, elle-même victime d’un système répressif innommable.

Contrairement à la version précédente de l’adaptation, celle de Fincher est assez elliptique. Mieux vaut avoir lu les livres pour s’y retrouver tant il refuse de perdre son temps à dénouer, à montrer les multiples sous-intrigues, fausses pistes qui animent le récit de Larsson avec brio.

En revanche, Fincher brille à montrer une société suédoise telle qu’il l’imagine, avec des clichés haut de gamme qui finalement définissent ici bien son style: froid, clinique mais classe! Un peu comme le design scandinave dont le décorateur a abusé. D’où cette impression qui ne quitte jamais le spectateur, celle d’une vision très distanciée de son sujet qui fait qu’on ne se sent jamais complètement dans le film. Et c’est dommage, car justement, le livre avait cette particularité de nous faire en même temps découvrir et appartenir à un univers qui nous était étranger. 

Avec Daniel Craig, Rooney Mara, Christopher Plummer, Stellan Skarsgard, Steven Berkoff, Robin Wright

2011 – USA – 2h38

22 mai 2012

Trust

Véronique LE BRIS / Non classé adolescence, Catherine Keener, Clide Owen, dangers, David Schwimmer, Etats-Unis, famille, Friends, internet, viol / 0 Comments

La note Cine-Woman : 2/5

de David Schwimmer

Soit une famille américaine parfaite. Soudée mais pas trop, compréhensive avec ses enfants mais leur donnant des repères, ouverte à la communication et à l’écoute. Au regard du casting génial des parents (Catherine Keener et Clive Owen), on n’en attendant pas tant. Et quand la cadette reçoit un ordinateur pour ses 14 ans, qu’elle commence à entretenir une relation à distance avec un homme, d’abord jeune, mais de moins en moins au fur et à mesure qu’il se dévoile, la famille fait confiance. Avant de découvrir le pire.

Toujours en phase avec l’évolution de la société, le cinéma américain sait s’accaparer des sujets qui font mouche. Celui des dangers d’internet, de ses proies privilégiées que sont les jeunes, est bien vu et finalement assez justement traité. Adapté d’une pièce de théâtre qu’il a lui même créée avec sa compagnie, David Schwimmer, le Dr.Ross Geller de Friends, a surtout l’audace d’aller jusqu’au bout de son idée et des dangers qu’il dénonce. Dommage pourtant qu’avec son casting 5 étoiles, il ne parvienne pas à échapper à la caricature, notamment en faisant jouer au père une sorte de vengeur primaire qui dénote avec le début du film et le jeu de Clive Owen. Au lieu de la pépite espérée, il signe un objet conventionnel, attendu, presque banal pour dénoncer des actes délictueux qui auraient mérité plus d’engagement, plus de passion, plus de débat.

Avec Clive Owen, Catherine Keener, Liana Liberato, Jason Clarke, Noah Emmerich, Viola Davis.

USA – 2010- 1h46

24 avril 2012

Le tableau

Véronique LE BRIS / Non classé créateur, création, créature, peintre, peinture, Tableau / 0 Comments

La note Cine-Woman : 3/5

Dès 7 ans

Magnifique idée que celle du tableau, le nouveau film de Jean-François Laguionie. Les personnages d’une toile de maître inachevée ne parviennent pas à comprendre pourquoi certains d’entre eux sont Toupins, d’autres Pafinis et les derniers, les Reufs, carrément à peine esquissés. Tandis que les plus achevés prennent le pouvoir et font régner la terreur, les autres vivent mal cette injustice. Les circonstances amèneront trois d’entre eux à partir à la recherche du peintre pour avoir une explication. En chemin, ils croiseront d’autres créatures peintes, d’autres passions du Peintre, Venise et ses mystères… Véritable film d’aventure au coeur d’un décor sidérant de beauté, ce film très poétique est aussi une manière de se familiariser à la peinture et à la lecture des images. C’est dommage que la toute fin ne soit plus à la hauteur de ce sublime livre d’images aux enjeux aussi sociaux qu’artistiques.

De Jean-François Laguionie

2011 – France – 1h16

En partenariat avec Grains de Sel


17 avril 2012

17 filles

Véronique LE BRIS / Films, Mon blog actrice, adolescence, cinéma français, femme, film de femme, héroïne, maternité, mère / 0 Comments

La rébellion adolescente peut prendre des formes étranges. C’est le propos de 17 filles de Delphine et Muriel Coulin. Dans leur premier film, elles transposent un fait divers américain en Bretagne. Et en profitent pour interroger le féminin. Passionnant.

Lire la suite
14 avril 2012

Hugo Cabret

Véronique LE BRIS / Non classé effets spéciaux, enfance, fiction, Georges Méliès, histoire, hommage, Martin Scorsese, merveilleux, naissance du cinéma, voyage dans la lune / 0 Comments

La note Cine-Woman : 4/5 

Dès 9 ans

Martin Scorsese a de la mémoire. Il avait déjà rendu un vibrant hommage aux films fondateurs du cinéma américain et un autre, plus médiocre, au cinéma italien. Là, il s’intéresse là aux tout-débuts du septième art et donc au cinéma français. Pas aux frères Lumière tournés vers le documentaire, mais à l’inventeur du spectacle cinématographique, Georges Méliès. Et, comme Martin Scorsese est aussi un fabuleux conteur, il choisit évidemment une fiction pour rendre cet hommage. En adaptant « L’invention de Hugo Cabret », livre signé Brian Selznick, il rejoint sans fausse note l’univers déjantée et merveilleux du créateur des premiers effets spéciaux. 

Hugo Cabret est un jeune orphelin qui vit dans une gare. Le seul héritage que lui a laissé son père, horloger, avant de mourir est un vieil automate qu’il peinait à réparer. Une machine de forme humaine, extraordinaire, capable d’écrire. Le jeune garçon n’a qu’une idée en tête : remettre ce robot en état de marche pour enfin capter le message que son père lui a sûrement laissé avant de partir. En fait, c’est un univers entier qu’il va découvrir, celui du magicien du cinéma, Georges Méliès.

De Méliès, il reste aujourd’hui assez de peu de choses. Des films plus ou moins complets, des objets… et un chef d’oeuvre :  son fameux Voyage dans la lune. Si Scorsese en rappelle la genèse dans Hugo Cabret, ce court-métrage est à découvrir, pour la première fois, dans son intégralité et en couleur. Serge Bromberg, spécialiste des restaurations désespérées, raconte le long processus qui a vu naître puis quasiment disparaître ce fameux Voyage, alors même que la Lune souriante, percutée par un obus est une des images les plus emblématiques du cinéma mondial.

Aucun des deux films n’a été conçu spécialement pour les enfants. Pourtant, l’un comme l’autre leur fera découvrir une partie de l’histoire d’aujourd’hui, la construction d’un monde irréel et fabuleux et d’une aventure merveilleuse qui sont aujourd’hui ceux du cinéma, puis de la télévision et même finalement des jeux vidéos.

de Martin Scorsese 

Avec Ben Kingsley, Sacha Baron Cohen, Asa Butterfield, Chloë Grace Moretz, Emily Mortimer, Jude Law

2011 – USA – 2h08

En partenariat avec Grains de Sel


affiche du film Marsupilami
8 avril 2012

Le Marsupilami ?

Véronique LE BRIS / Mon blog Alain Chabat potache, chihuahua, humour, Jamel Debbouze, Lambert Wilson, Marsupilami, mauvais goût / 0 Comments

affiche du film MarsupilamiUn film de mecs !

« T’as aimé le Marsupilami? « . « Ben non, rien que la scène du Chihuahua, ça suffit à me dégouter du film ». « Qu’est-ce qu’ils ont tous avec, alors? » « T’inquiète, ça doit être un truc de mecs, on peut pas comprendre »… Je n’ai pas épluché toutes les critiques mais c’est vrai que la majorité étant masculines (je relate plus haut  une discussion avec une consoeur, à l’esprit très large), on peut dire que le film d’Alain Chabat a été SOU-TE-NU. Même si ce n’est pas ça qui fera son succès public. Moi aussi, j’ai trouvé nulle cette scène du Chihuahua qui se soulage dans l’oreille de Jamel, comme j’ai trouvé pathétique le final de Lambert Wilson en Céline Dion. Et comme le début du film manque sérieusement de rythme, que les blagues sentent la naphtaline, que Jamel et Chabat sont exactement comme il y a dix ans, … je n’ai pas trouvé grand chose pour sauver le film. Et plus j’y réfléchis, moins j’en trouve.

 Inutile de me balancer « t’aimes pas rire, t’aimes pas la BD, t’aimes pas Chabat« …. etc, parce que j’adore rire, Franquin et j’aime bien Chabat (j’adore Astérix & Obélix : Mission Cléopâtre). Mais c’est vrai que je n’aime pas l’humour potache, facile, de mec-qui-n’s’assume-tellement-pas-qu’il-doit-s’habiller-en-robe-à-paillettes-pour-avoir-l’impression-d’être offensant, politiquement incorrect ou tout simple drôle. Bref, je n’aime pas cet humour de mec-là, gras, sans finesse et je suis sûre que pleins de filles ne s’y retrouvent pas non plus, même si elles n’osent pas trop le dire. Sur Facebook, une autre collègue disait qu’elle trouvait les gags du film embarrassants. Je suis d’accord avec elle, même s’ils ne me choquent pas : je les trouve bêtes et pas marrants du tout. Débiles en un mot.

Allez, Chabat, grandissez un chouïa, je suis sûre que vous êtes capable de bien mieux. De beaucoup mieux.


7 avril 2012

Happy Feet 2

Véronique LE BRIS / Non classé banquise, danse, dessin animé, fils, glace, Happy Feet, père, pingouin / 0 Comments

La note Cine-Woman : 1/5

Dès 6 ans

Mumble était le seul pingouin plus à l’aise en dansant qu’en chantant. Son fils trouve, lui, plus utile d’apprendre à voler qu’à danser. Ce qui servirait pour délivrer leur colonie prise au piège…Encore une histoire d’initiation où le père transmet autant à son fils qu’il en apprend de lui. A part de belles images et des crevettes hilarantes, ce Happy Feet 2 est décevant. Non seulement la BO qui donnait le tempo du premier épisode, Happy Feet sorti en 2006, est inintéressante, mais l’histoire, téléphonée, ne séduit pas non plus.

De George Miller

2011- USA – 1h45

En partenariat avec Grains de sel 


4 avril 2012

Le vilain petit canard

Véronique LE BRIS / Non classé Andersen, conte, courage, différence, espoir, identité, politique, Tchaikovski, tolérance, vilain petit canard / 0 Comments

La note Cine-Woman : 4/5

Dès 5 ans

Vous connaissez bien sûr le conte d’Andersen. Le russe Garri Bardine (La nounou) est un réalisateur bien trop imaginatif pour ne y avoir glisser son grain de sel! Un oeuf trop gros arrive dans une basse-cour très ordonnée. Il en sort un volatile, noir, pelé, différent des autres qui, malgré toute sa volonté et son courage, ne parvient pas à se faire accepter. Après bien des malheurs, il finira par trouvera sa famille, celle de magnifiques cygnes blancs qui l’emporteront bien au delà de cet enclos étriqué. Bien sûr il est ici question de tolérance, d’espoir, de quête d’amour et d’identité. Mais, en se raillant cette basse-cour militairement organisée, Garri Bardine donne une dimension politique innovante et très amusante à ce conte d’abord philosophique.  Son talent principal reste pourtant celui d’exprimer les émotions les plus fortes poétiquement, notamment grâce à la musique de Tchaikovski. On met au défi quiconque, grands et petits, de regarder ces volatiles s’étriper sans verser la moindre larme…

De Garri Bardine

2010 – Russie – 1h14

En partenariat avec Grains de Sel

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