Lettre d’une inconnue
Révisons nos classiques à la faveur du confinement : Lettre d’une inconnue de Max Ophüls (1948). Lire la suite
Révisons nos classiques à la faveur du confinement : Lettre d’une inconnue de Max Ophüls (1948). Lire la suite
Une astronaute se prépare à partir dans l’espace. Ainsi débute (bien) Proxima d’Alice Winocour qui s’englue dans des clichés sur la maternité. Honteux !
Troisième épisode consacré à sa vie privée, Mon chien stupide d’Yvan Attal dresse un bilan cruel, cynique d’un couple qui s’essouffle après 30 ans de vie commune. Parfois bien vu mais bof, ou beauf !
Portrait de la jeune fille en feu de Céline Sciamma raconte sans fièvre la passion interdite de deux jeunes femmes. Le film est en compétition officielle au Festival de Cannes 2019, en lice pour la Palme d’Or.
Comment aime-t-on aujourd’hui ? Tu mérites un amour d’Hafsia Herzi montre, en s’appuyant sur Frida Kahlo, que c’est un parcours semé d’embûches. Le film est présenté à la Semaine de la Critique 2019, en séance spéciale.
L’homosexualité a mis longtemps avant de s’inviter au cinéma. Champs d’Amours, première exposition au monde sur le sujet, revient sur cette histoire contrariée. C’est gratuit, à l’Hôtel de Ville de Paris et jusqu’au 28 septembre 2019.
Vita & Virginia, la rencontre littéraire et amoureuse de Virginia Woolf avec l’aristocrate Vita Sackville-West donne lieu à une admirable et intelligente mise en scène de la part de Chanya Button.
Yves est plus qu’un pote pour Jerem. Et il est sacrément intelligent. Mais la deuxième comédie de Benoit Forgeard jette un froid.
Défigurée à l’acide par son ex, Jade tente de se reconstruire. Dirty god de Sacha Polak s’intéresse aux conséquences. Pas au geste. Etonnamment positif.