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affiche de la saison 2013-2014 de la Cinemathèque française
26 juin 2013

Cinémathèque française

Véronique LE BRIS / Mon blog Amos Gitaï, cinéma, exposition, Henri Langlois, Jean Cocteau..., Michel Piccoli, Pasolini, patrimoine / 0 Comments

Ce que fin 2013 nous réserve

affiche de la saison 2013-2014 de la Cinemathèque française

C’est ce mercredi 26 juin, à midi que Serge Toubiana, le directeur général de la Cinémathèque Française, a annoncé le programme des festivités à venir après l’été. 

La saison reprendra des expositions temporaires reprendra à compter du 25 septembre 2013 par un hommage à Jean Cocteau, à l’occasion des 50 ans de sa mort puis, à partir du 16 octobre 2013, par Pasolini Roma, soit Rome vu par un des artistes les plus controversés du XXème siècle. elle sera bien évidemment accompagnée d’une intégrale de ses films, d’Accatone à Salo. 

Les 100 ans d’Henri Langlois

Mais 2014, c’est aussi et surtout le centenaire d’Henri Langlois, l’infatigable créateur de la Cinémathèque et le père de la cinéphilie française. Plusieurs manifestations le consacreront dont une exposition baptisée Le Musée imaginaire d’Henri Langlois, à partir du 9 avril 2014. Avec évidemment force documents inédits, témoignages… 

Autre temps fort, une expoistion là encore, consacrée à Amos Gitaï, architecte de la mémoire, à partir du 26 février, accompagnée là encore de son intégrale filmée. 

Côté filmo

Quant aux rétrospectives qui sont la base même de la programmation de la Cinémathèque, se succèderont celels consacrées à l’ouvre de  : 

– Michel Piccoli (du 4 sept au 6 oct 2013)

– Bernardo Bertolucci (du 11 au 29 sept 2013)

– Ethan et Joel Coen (du 2 au 27 oct)

– Roger Allio (du 6 au 19 nov)

– Raymond Depardon (du 14 nov au 1er déc)

– Joao Cesar Monteiro (du 11 au 22 dec)

– Henry Hathaway (du 8 jan au 23 fev 2014)

– Jean-Charles Fitoussi (du 15 au 26 jan 2014)

Et cela avant de célébrer en 2014 Jean Epstein, Caroline Champetier, la Grande Guerre, Ozu ou Charlot, lui aussi né en 1914. 

Evidemment, Cine-Woman reviendra sur chacun des évènements en temps voulu, mais comme il n’est jamais déconseillé de rêver un peu…

Bel été d’ici là. 

Julie Delpy et Ethan Hawke dans before Midnight
26 juin 2013

Before Midnight

Véronique LE BRIS / Non classé couple, discussion, Ethan Hawke, histoire s'amour, Julie Delpy, love story, Richard Linklater, un homme, une femme. / 0 Comments

De Richard Linklater

Voilà 18 ans qu’a commencé la love story de Céline, la petite française et de Jesse, l’américain en voyage en Europe. Ils s’étaient rencontrés dans un train, se sont quittés puis retrouvés à Paris et vivent désormais en couple ensemble en France. 

Le mari, la femme, les enfants

Mais, cette fois, ils sont en vacances en famille en Grèce, avec leurs enfants, reçus par des amis, une bande d’intellectuels qui disserte, lors des repas, sur le sens de la vie, sur l’amour, sur le temps qui passe et évidemment sur le couple et donc sur les femmes et sur les hommes. 

Julie Delpy et Ethan Hawke dans before MidnightAlors qu’ils s’apprêtent à repartir, leurs amis leur offre une nuit dans un hôtel de charme, rien que tous les deux, Céline et Jesse, sans les enfants. C’est l’occasion de retrouvailles un peu forcées, un peu hors du rythme de croisière qu’a désormais pris leur couple et donc, comme toujours, celui d’une mise au point. Sévère, la mise au point. 

Comme eux, nous avons vieilli, expérimenté la vie, l’amour, la déception et le bonheur, les bonheurs partagés ou non. Comme eux, notre romantisme a été échaudé par la routine, par la prise du pouvoir de l’intendance sur notre vie quotidienne auparavant si riche, si pleine d’élan et de découverte.

Donc, surtout si on les suit en terme d’âge, on ne peut qu’une fois de plus s’identifier au couple à la fois banal et si formidable que forment Céline et Jesse, un couple où la liberté de parole semble totale mais où certains non-dits ont fini par être lourds de conséquences.

S’aimer ne suffit pas

Bref, on a rêvé quand ils se sont rencontrés, quand ils se sont retrouvés et l’on constate avec eux un peu amèrement qu’il ne suffit pas de s’aimer pour être heureux mais que ça va quand même mieux en s’aimant! Et qu’il ne suffit plus de vouloir pour pouvoir… 

Julie Delpy et Ethan Hawke dans Before MidnightComme à chaque fois, le principe du film est extrêmement simple : une femme, un homme, chacun avec leur caractère bien trempé, discute d’eux et de leur couple (donc de leurs envies, de leurs désirs, de leurs freins, des faiblesses de l’un, des défauts de l’autre avec une mauvaise fois jubilatoire) en se promenant. Et leurs joutes verbale, extrêmement bien écrites, font toutes la saveur de cette trilogie amoureuse. 

Evidemment, le film est du coup extrêmement et quasiment uniquement bavard. A la française, pourrait-on dire. Mais, c’est ce qui fait tout son charme, toute sa force. Il se vit donc plus comme un battle de répliques formidables, celles qu’on aurait adoré sortir quand on s’est retrouvé à leur place ou dans des situations similaires, quand justement la survie de notre couple, de notre histoire d’amour semblait reposer sur le brio qu’on mettait, chacun à sa manière, à la défendre. 

Battle d’acteurs

Enfin, l’autre valeur du film tient justement au naturel des acteurs. A force de se voir, d’écrire ensemble, de partager les mêmes personnages et d’évoluer à leur rythme, Julie Delpy et Ethan Hawke, et évidemment le réalisateur Richard Linklater, forment un trio indissociable qui partage avec nous une tranche de leur vie qu’on sait très bien continuer à s’écouler hors champ.

Inutile d’avoir les deux épisodes précédents pour se délecter de celui-ci. Malgré tout, mieux vaut être averti du procédé pour apprécier cet échange et supporter leurs bavardages.

Avec Julie Delpy, Ethan Hawke…

2013 – Etats-Unis – 1h48

©Before Midnight Inc. credit Despina Spyrou

des minions barjots
26 juin 2013

Moi, moche et méchant 2

Véronique LE BRIS / Non classé drôle, femme, gentil, humour, jaunes, mariage, méchant, minions, séduction / 0 Comments

Dès 5 ans

Gru, qui a été le plus méchant des méchants jusqu’à vouloir décrocher la lune, est désormais un gentil papa comblé. Ses trois adorables petites filles n’ont qu’une envie : qu’il partage enfin sa vie avec une « maman ». Mais, Gru est timide…

Des minions hilarants

Un jour, une certaine Lucy parvient à le kidnapper : on a besoin de lui pour repérer et se défaire un très méchant, autant que Gru l’étant avant. Grus se laisse convaincre et part dans de nouvelles aventures qui vont, à nouveau, changer sa vie…

des minions barjotsOn dit souvent que le deuxième film d’une série est le plus réussi de tous. Difficile d’anticiper sur la suite probable, mais ce deuxième opus est encore plus amusant que le premier. Les fameux minions, l’armée de personnages jaunes, improbables qui parlent une langue à la fois mystérieuse et compréhensible, prennent ici une place plus importante que dans le premier film et leurs interventions sont plus drôles les unes que les autres. Sans être original, le scénario ne souffre cette fois d’aucune faiblesse. Gru et ses filles sont devenus très attachants et on a hâte de les retrouver une nouvelle fois pour la suite de l’histoire. Restez bien jusqu’à la toute fin du film : le final est hilarant !

De Chris Renaud et Pierre Coffin, avec les voix françaises de Gad Elmaleh, Audrey Lamy et Eric Cantona…

2013 – Etats-Unis – 1h39

En partenariat avec Grains de Sel

Rebel Wilson et Chris Colfer dans Struck
19 juin 2013

Struck

Véronique LE BRIS / Non classé ambition, chantage, Chris Colfer, dépendance, différence, high school, mort, Rebel Wilson, réussir / 0 Comments

De Brian Dannelly

Carson a un projet professionnel et une ambition infaillibles. Plus tard, il veut être journaliste et doit, pour cela, intégrer les meilleurs universités. Ce qui signifie : quitter à tout prix Clover, le trou perdu où il a grandi, sa mère dépressive et cette école où il n’a pas que des amis, loin de là.

Pour valoriser son dossier, on lui conseille de créer un magazine littéraire. Mais, comment inciter les autres lycéens à collaborer ? Avec sa seule amie, Malerie, il échafaude un plan pour les y contraindre…

Ex de Glee

Rebel Wilson et Chris Colfer dans StruckEncore une plongée au sein de l’univers scolaire américain avec cette fois, la présence de deux vedettes de la nouvelle génération : Rebel Wilson, déjà croisée le mois dernier dans The Hit Girls, et surtout Chris Colfer, de la série Glee qui tient ici le rôle principal et a largement participé à l’écriture du film et du livre. A moins d’être fan de ces deux-là, ce film n’a qu’un intérêt très relatif : il faut être très concerné par les modes de sélection des universités américaines pour comprendre Carson. De plus, son stratagème pour convaincre ses copains à participer est mal explicité. Seul le ton décalé de cette comédie très dramatique, pas franchement drôle mais un peu amer, est intéressant.

Avec Chris Colfer, Rebel Wilson, Christina Hendricks…

2012 – Etats-Unis – 1h24

En partenariat avec Grains de Sel

Fanny Ardant et Laurent Lafitte dans Les Beaux Jours
19 juin 2013

Les beaux jours

Véronique LE BRIS / Non classé adultère, âge, Amour, fanny Ardant, Laurent Laffite, partage, retraite, sentiment, vérité / 0 Comments

De Marion Vernoux

Que faire ? Alors que sa vie a toujours été organisée autour de son mari, de sa famille et de son travail très prenant, Caroline a brusquement décidé de prendre sa retraite. Du coup, elle est débordée par son temps libre.

Ses filles l’inscrivent dans un club où elle est censée s’occuper et rencontrer des gens de son âge. Là-bas, elle séduit et est séduite par un homme plus jeune, Julien, un homme à femme avec qui elle va entretenir une relation sexuelle et amoureuse…

L’amour-repère

Ce qui est bien maîtrisé dans le film de Marion Vernoux, adapté avec Fanny Chesnel, son auteur, de « Une jeune fille aux cheveux blancs », c’est justement à la fois la banalité et la singularité de cette relation, qui, loin d’être une quête absolue de rajeunissement, est surtout une façon de franchir une nouvelle étape de la vie. Caroline aime son mari, mais la brutalité de sa décision (prendre sa retraite), quoique motivée, la laisse pantoise. Dans une sorte de lévitation par rapport à son existence dont elle a bousculé les repères. Et finalement, en entamant cette nouvelle histoire d’amour, qui ne menace même pas son mariage mais redonne un intérêt à sa vie, un intérêt pour elle-même, elle finira par retrouver sa structure et  un sens véritable..

Fanny Ardant et Laurent Lafitte dans Les Beaux JoursPas de mélodrame ici, pas d’effusion massive d’émotions qui n’existent pas vraiment. Non, on est dans le vrai, du côté de l’intelligence des sentiments, pas dans leur démonstration. Mais, il faut nécessairement avoir un peu vécu pour appréhender la joliesse de cette relation loin d’être passionnelle mais tout de même fascinante et troublante.

Troublant Laurent Lafitte

Pas de doute sur le fait que Fanny Ardant (Caroline) était « taillée » pour le rôle. Elle porte en elle la distinction et la distance de ce rôle de femme qui se laisse aller à ce qui lui fait du bien, sans calcul ou manipulation inutile. Mais, la vraie révélation est Laurent Lafitte, qu’on a toujours vu dans des registres plutôt comiques, où il faisait plus ou moins le malin. Rien de cela, ici, il joue un homme très séduisant, un peu immature qui comprend pourtant assez vite que cette relation va enfin réussir à lui mettre un peu de plomb dans l’aile. Pour un temps, au moins.

Avec Fanny Ardant, Laurent Lafitte, Patrick Chesnais…

1h34 – France – 2013

Michelle Giroux dans Blood Pressure
13 juin 2013

Blood Pressure

Véronique LE BRIS / Mon blog féminin, femme, frustration, monotone, mort, nouveauté, quarantaine, quotidien, rêve, Toronto, vie / 1 Comment

Nouvelle vie

Ce film est encore visible dans la journée du jeudi 13 juin et demain, vendredi 14 juin, au cinéma le Balzac dans le cadre du Champs Elysées Film Festival.

Pour l’instant, il n’a pas de distributeur français mais sa carrière dans le monde entier est déjà bien entamée : il est sorti avec succès au Canada, a été présenté à Pusan (Corée), sera en compétition au festival de Shanghaï la semaine prochaine… Si vous avez la chance de tomber dessus (dans un festival par exemple), n’hésitez pas. Cine-Woman le recommande fortement !

Réinventer la vie

Nicole aborde sa quarantaine avec des difficultés. Ni son métier de pharmacienne, ni sa vie familiale avec deux adolescents exigeansts, ni sa vie de couple usée, ne l’épanouissent. Un jour, elle reçoit une lettre très personnelle mais anonyme lui demandant de s’impliquer dans une action précise. Elle accepte, suit à la lettre les instructions qui lui seront apportées jour après jour… Sa vie va alors prendre un tour inattendu.

Comme l’a dit une spectatrice lors de la première projection du mercredi 12 juin, « on rêve toutes que cela nous arrive ». La vie quotidienne apporte son lot de frustration et rien de plus normal que de vouloir y échapper. Oui mais comment ?

Michelle Giroux dans Blood PressureJe ne vous raconterai pas ici si c’est pour le pire ou pour le meilleur que Nicole va accepter de bouleverser son quotidien, ni ce qu’elle sera amener à faire pour y parvenir. Mais sachez que le suspense est entier  et que l’attente est méritée.

Pour celles qui n’adhéreraient pas l’histoire (manifestement c’est un pur film pour femmes, les hommes sont moins sensibles à la destinée de Nicole), allez au moins voir la performance exceptionnelle de Michelle Giroux, une actrice canadienne anglophone de théâtre au nom typiquement français mais qui n’en parle pas un mot. Elle est époustouflante, tellement naturelle qu’on ne peut s’empêcher de s’identifier à elle, disait encore cette spectatrice.

Totale impro

Pour parvenir à un tel résultat, Sean Garrity, le réalisateur, a avoué utiliser un truc : il avait bien écrit toute l’histoire de son film, inspiré d’une nouvelle d’un ami qui n’a jamais été publiée. Mais il ne l’a jamais racontée aux acteurs et ne leur a jamais donné de scénario à apprendre. Tout est improvisé.

Michelle Giroux lit une lettre dans Blood Pressure

Sean racontait que quand Michelle/Nicole fouille sa boîte aux lettres en espérant un nouveau message, sa fille vient vers elle et la surprend, en lui disant qu’une amie à elle l’a vue. Michelle/Nicole est extrêmement surprise, ne sachant absolument pas à quoi elle fait référence… et elle commence à bredouiller une sorte de mensonge qui n’en est pas vraiment un. Comme aucune des deux actrices ne connaissaient la suite de l’historie, elles ne pouvaient qu’être plus vraies que nature.

Sean Garrity, dont c’est le cinquième long métrage, a l’habitude de travailler ainsi. Il avait déjà réalisé un film en impro, « Zooey & Adam », l’histoire très sombre d’un couple en mal d’enfants (jamais sorti en France). Espérons toutefois qu’un distributeur se décide à acheter « Blood Pressure ». Trop hâte de voir les réactions de toutes mes amies…


Sean et son amie Deanna dans Blackbird
12 juin 2013

Blackbird

Véronique LE BRIS / Non classé Canada, Connor Jessup, engrenage, intolérance, vilain petit canard, violence / 0 Comments

De Jason Buxton

Blackbird (oiseau noir en français ou plutôt vilain petit canard) est un premier film canadien qui se reçoit comme un coup de poing dans le ventre. Pas tellement à cause de sa violence physique mais plutôt à cause de l’acharnement psychologique que subit Sean, un ado mal dans sa peau, justement parce qu’il est mal dans sa peau.

Sean (formidable Connor Jessup) a 15 ans au début du film, il vient de déménager chez son père depuis que son beau-père l’a chassé à cause de son look gothique. Des ongles noirs, un blouson à clou, un tatouage d’anarchiste… bref, un look de rebelle qui a le tort de déplaire à la petite communauté dans laquelle il vit.

L’enfer, c’est les autres

Sean et son amie Deanna dans BlackbirdParce qu’il est nouveau, parce qu’il s’habille autrement, on commence à l’humilier et à l’accuser du pire. Il a le malheur de se défendre et s’embarque dans un engrenage kafkaïen.

Victime de la majorité bien pensante et surtout du fameux principe de précaution, il mettra plusieurs années à sortir de cet enfer, à faire entendre sa vérité.

Mais, puisque ce qui ne tue pas rend plus fort, il y trouvera aussi le chemin vers l’affirmation de sa personnalité. Une vraie leçon de vie qui rappelle à tous de ne jamais juger sur les apparences et que la majorité n’a pas toujours raison. Loin de là.

Avec Connor Jessup, Michael Buie, Alexia Fast et Alex Ozerov…

2012 – Canada – 1h 43

En partenariat avec Grains de Sel

12 juin 2013

The Bling Ring

Véronique LE BRIS / Mon blog, Cannes, Festivals, Films adolescence, fait divers, fake, film de femme, luxe, marques, Paris Hilton, people, réalisatrice, Sofia Coppola / 0 Comments

Sofia Coppola est-elle la reine du fake? Il la fascine comme le prouve son nouveau film, The bling ring. Trop bling-bling pour être honnête.

Lire la suite
ploddy, la voiture électrique policière
12 juin 2013

Ploddy

Véronique LE BRIS / Non classé écologie, éducation, enquête, humour, Norvège, policier., voiture électrique / 0 Comments

Dès 4 ans

Le soir d’une violente tempête, Ploddy, la voiture de police d’une petite ville du nord de la Norvège, part réparer un générateur électrique. Elle en revient électrifiée, littéralement transformée en véhicule électrique.

Ecolo

Le commandant de police lui impose le repos complet tant qu’elle n’a pas retrouvée son état « normal ». En convalescence, Ploddy repère bientôt des malfrats qui ont décidé de s’accaparer l’eau de la région… pour la revendre en bouteilles en plastique. Au début, tout le monde voit Ploddy comme un oiseau de mauvais augure. Bientôt elle sera pourtant la seule à pouvoir tous les sauver.

ploddy, la voiture électrique policièreDessin animé norvégien au propos très écolo, Ploddy mérite un joli coup d’œil. Parce qu’il n’est jamais trop tôt pour éveiller les consciences à l’écologie, au respect de la nature et des autres.

Ses dessins comme son scénario ont été conçus pour les très jeunes enfants (ce qui est rarement le cas des films à message). Tout leur est accessible : les méchants sont clairement identifiés, les amis de Ploddy sont rigolos…  Enfin son suspense, bien mené avec de nombreux rebondissements, fera qu’ils s’attacheront à cette voiture intelligente et amusante et qu’ils seront alors tout à fait sensibilisés à son discours.

De Rasmas A. Siverten

2013 – Norvège – 1h14

En partenariat avec Grains de Sel

Brahim endimanché dans Chroniques d'une cour de récré
5 juin 2013

Chroniques d’une cour de récré

Véronique LE BRIS / Non classé album-photo, années 80, banlieue, nostalgie, rêve, sensation, usine / 0 Comments

Dès 10 ans

Quand Brahim avait 10 ans, il habitait en banlieue parisienne, près d’une usine de grues dont son père était le gardien. Son meilleur copain s’appelait Salvador, il venait du Chili. La cour de l’usine était un terrain de jeu formidable. Steve McQueen passait à la télévision…

Trente ans plus tard, Brahim Fritah se souvient de cette enfance pleine de rêves et d’aventures, de cette année charnière où enfant, il a commencé à s’émanciper de sa famille, à se souvenir de ses rêves et où l’usine de son père a déménagé à Perpignan.

1980’s

La manière dont  Brahim Fritah revient sur cette année est , au début, un peu déroutante. Il procède comme s’il feuilletait un album photo. Chaque image lui rappelle alors un évènement, une sensation, un rêve, une punition… Et c’est à partir de ces souvenirs furtifs qu’il recompose ce qui s’est passé d’important dans sa vie d’alors, à Pierrefitte-sur-Seine en 1980.

Brahim endimanché dans Chroniques d'une cour de récréLa reconstitution de l’ambiance, du rythme que l’on donnait à l’existence au début des années 1980 est extrêmement fidèle et étrangement, on plonge avec délice dans une nostalgie bienveillante qui devrait séduire autant les parents que les enfants qui jetteront un œil curieux sur cette époque révolue.

De Brahim Fritah, avec Yanis Bahloul, Rocco Campochiaro, Vincent Rottiers, Mostefa Djadjam…

2012 – France – 1h25

En partenariat avec Grains de Sel

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