Que ma volonté soit faite
Derrière ce titre à la morale catholique, se cache une charge punitive contre les femmes et leur désir. Que ma volonté soit faite, le troisième film de Julia Kowalski, est présenté à la Quinzaine des Cinéastes.
Derrière ce titre à la morale catholique, se cache une charge punitive contre les femmes et leur désir. Que ma volonté soit faite, le troisième film de Julia Kowalski, est présenté à la Quinzaine des Cinéastes.
Derrière ce titre étrange, se cache un film politique coup de poing sur la vie quotidienne à Gaza fin 2024 et début 2025. Signé par Sepideh Farsi, il est présenté à l’Acid Cannes et sera un des évènements du 78e Festival de Cannes.
Sur un vieux tube de Stone et Charden, Sophie Letourneur poursuit son exploration des vacances en Italie, en famille cette fois. Répétitif, scato et pas drôle, le film ouvre l’ACID le 14 mai.
Partir un jour, la comédie musicale d’Amélie Bonnin, ouvre le 78e Festival de Cannes. Ce premier film était pas taillé pour, malgré son petit charme et Juliette Armanet.
Il lui a suffi de deux documentaires inspirés par sa famille pour remporter le Prix Alice Guy. Bye bye Tibériade, révélé à la Mostra de Venise et qui a représenté la Palestine à l’Oscar, installe Lina Soualem au cœur de la nouvelle génération des réalisatrices qui comptent.
Une comédie féministe réalisée par une femme, avec de l’esprit et de l’ambition, ça existe ? Et oui ! Allez donc voir Natacha presque hôtesse de l’air de Noémie Saglio.
Anciennement titré Armand, La convocation, le premier film de Halfdan Ullmann Tondell, sélectionné à Un Certain Regard, séduit… jusqu’au moment où il ne sait plus comment finir. Il a pourtant obtenu la Caméra d’or 2024.
Pour Vingt dieux, son premier film, la réalisatrice Louise Courvoisier s’inspire du village de son enfance pour raconter une histoire tragi-comique liée à la fabrication du comté. Humble, réussi et récompensé du Prix de la Jeunesse à Un Certain Regard 2024.
Diamant brut d’Agathe Riedinger est le seul premier film de la Compétition officielle du 77e Festival de Cannes. La seule vraie découverte… hélas !
L’amour ouf de Gilles Lellouche oscille entre l’ode à l’ultra-violence et celle à l’amour culcul, entre un clip de rap et un film de Claude (Lelouch). En lice pour la Palme d’or.