Roulez jeunesse
Dans Roulez jeunesse le premier film de Julien Guetta, Éric Judor dévoile une autre facette de son talent sans s’éloigner de l’univers enfantin qui est le sien.
comédie
Brillantissisme
Étrange film que la première réalisation de Michèle Laroque. Jusqu’à son titre Brillantissime. Est-ce une incantation ou une provocation ?
Place publique
Un nouveau film d’Agnès Jaoui, est-ce toujours un événement? Place publique a un tel air de déjà vu qu’il relève plus de la redite que de la surprise. Décevant.
La mort de Staline
Le 2 mars 1953, dans la nuit, le tyran soviétique est victime une attaque cérébrale sérieuse. Est-il conscient, est-il décédé? La mort de Staline pose plus de problèmes qu’elle n’apporte de solutions. Ce que le film d’Armando Iannucci raconte avec beaucoup d’humour.
Le sens de la fête
Le sens de la fête, c’est aussi celui que les réalisateurs d’Eric Toledano et Olivier Nakache partagent dans tous leurs films depuis leurs débuts. Ici, ils accueillent un nouveau venu : Jean-Pierre Bacri, car sans lui, le fête est toujours moins drôle.
Les mauvaises herbes
Les mauvaises herbes, une comédie noire mais très enneigée, est le premier film du québécois Louis Bélanger à sortir en France. Il a pourtant fait mieux.
Papa ou Maman 2
Avec Papa ou Maman 2, les fêtes auront une saveur amère. Surtout pour ceux qui connaissent les joies de la famille recomposée. Chez les Leroy, serait-ce à nouveau la guerre?
Bridget Jones Baby
L’héroïne anglaise à l’humour et aux kilos en trop revient. Et devinez quoi? Elle est enceinte. Alors, que vaut ce Bridget Jones Baby, le troisième de la série ?
L’interview de Justine Triet
Très chaleureuse, Justine Triet claque la bise et commence par s’intéresser à son interlocuteur avant de répondre généreusement aux questions. Elle est bavarde, m’avait-on prévenu. La réalisatrice de Victoria est surtout intéressante, passionnante et à envie de s’expliquer, de réfléchir. Un peu foutraque aussi et tellement ancrée dans la vie d’aujourd’hui. Comme ses films.
Victoria – Cannes 2016
Avec Victoria, son second film, Justine Triet affirme l’acuité de son oeil ancrée dans la réalité des femmes de sa génération. Et elle révèle une Virginie Efira inédite et exceptionnelle.
