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22 octobre 2014

Bande de filles

Véronique LE BRIS / Films, Mon blog adolescence, banlieue, cinéma français, fille, film de femmes / 0 Comments

Vendue comme une bande de filles, ce nouveau film de Céline Sciamma consacrée encore une fois à l’adolescence féminine, est surtout l’histoire d’un destin brisé, celui d’une jeune fille qui s’est brûlée les ailes. Raté donc.

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22 octobre 2014

Of men and war

Véronique LE BRIS / Films, Mon blog après-guerre, documentaire, Festival de Cannes, mort, pacifisme, trauma / 0 Comments

Of men and war de Laurent Bécue-Renard raconte les dégâts humains de l’après-guerre. Ceux portés par les hommes qui en sont revenus et sur leur famille. Indispensable.

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Shailene Woodley et Shiloh Fernandez
15 octobre 2014

White bird

Véronique LE BRIS / Mon blog disparition, Eva Green, fille famille, Gregg Araki, mère, père, Shailene Woodley / 0 Comments

Loin du paradis

L’ennui naquit un jour de l’uniformité… Ou de la conformité à l’American Dream, selon Laura Kasischke dont le roman Un oiseau blanc dans le blizzard est ici adapté par le décapant Gregg Araki. 

Une vie trop étroite

Kat a 17 ans, un boy friend next door, une petite bande d’amis précieux et une famille étrange, froide. Un jour, sa mère, Eve, disparaît. Kat en est sûre, elle ne reviendra pas et ne semble pas plus affectée que cela par sa disparition. 

Shailene Woodley et Shiloh Fernandez

Pourtant, sa mère lui était très dévouée. Comme à son mari, comme à sa famille, comme à son foyer et surtout comme à l’image impeccable de la femme américaine parfaite des années 1960 qu’elle croit qu’on attend d’elle. Mais, qu’elle n’arrive plus à tenir, face à un mari fadasse qu’elle méprise profondément. 

Petite ambition

Cette disparition finit par perturber les rêves de Kat alors en pleine découverte de la vie, de sa sexualité et de son pouvoir de séduction. 

Shailene Woodley

A priori, White bird semble être un petit film. Rien d’explosif comparé aux fils précédents d’Araki – Mysterious skin, Kaboom–  connu pour appuyer sur les perversions de la société américaine.

… mais grande révélation

Mais, cette plongée très 80’s -la bande son est excellente- dans une famille apparemment bien sous tous rapports, dont les dysfonctionnements subtils sont savamment dissimulées derrière les fenêtres de leur pavillon de banlieue, est d’une finesse de vue qui la rend à la fois extrêmement crédible et parfaitement dérangeante. 

Eva Green

Sans sommation, sans porte voix, White Bird est en fait un des films les plus cruels sur la famille américaine et sur la place de la femme en son sein vus depuis bien longtemps. Aussi perturbant que Loin du paradis de Todd Haynes , mais avec une modestie qui lui donne une efficacité encore plus redoutable. 

Duo d’actrices au top

Avec seulement quelques personnages tous savamment définis – même si le père et le boy friend sont plus caricaturaux – , Araki dresse un portrait au vitriol de cette société des apparences superbement interprété par Shailene Woodley,  parfaite et par une Eva Green, épatante, d’une beauté renversante et d’une fragilité vacillante bouleversante. Depuis le temps qu’on vous dit qu’Eva Green est la meilleure actrice française de sa génération… 

De Gregg Araki, avec Shailene Woodley, Eva Green, Christopher Meloni, Shiloh Fernandez…

2013 – USA – 1h31

Pat et Mat dans leur Salle de bains
15 octobre 2014

Pat et Mat

Véronique LE BRIS / Non classé animation, bricolage, comédie, gag, héros, quotidien, Tchéquie / 0 Comments

Dès 3  ans

Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? C’est un peu la devise de Pat et Mat, deux voisins-copains qui adorent faire du bricolage.

Des as du bricolage…

L’un comme l’autre ont un savoir-faire approximatif mais une imagination débordante. Et toute expérience de la vie quotidienne se transforme en une catastrophe difficile à anticiper. Mais, heureusement, ce sont aussi leurs idées farfelues qui finissent par les sauver. Ou pas.

Pat et Mat dans leur Salle de bains

Qu’ils soient dans la salle de bains, dans leur jardin en train de manger des saucisses, de jouer aux cartes ou bien en plein ménage à passer l’aspirateur (ce qu’ils détestent) ou dans leur grenier à regarder les étoiles, rien au départ ne permet de présager ce qui va leur arriver et c’est tant mieux !

… Décalés

Ces cinq courts-métrages signés du tchèque Marek Benes, le fils du créateur des personnages nés en 1976 et toujours diffusée à la télévision, sont une suite de gags plus amusants les uns que les autres, mais traités avec le plus grand sérieux. Pat comme Mat sont deux marionnettes toute simples, vêtues à l’ancienne et coiffées pour l’un d’un bonnet rayé et pour l’autre d’un béret.

Pat et Mat et leur piscine

Et, justement, c’est le décalage entre leur allure banale, leur environnement classique et leurs idées farfelues qui crée cet humour burlesque et attachant. Vite de nouveaux épisodes qu’on continue à rire d’aussi bon cœur !

De Marek Benes. 

République Tchéque – 0h40

En partenariat avec Grains de Sel

Le labyrinthe, impressionnant!
15 octobre 2014

Le Labyrinthe

Véronique LE BRIS / Mon blog apocalypse, fin du monde, huis-clos, labyrinthe, teenage / 0 Comments

Après l’apocalypse

Quand Thomas (Dylan O’Brien) débarque de son monte-charge rouillé au beau milieu d’un terrain vague, cerné par un labyrinthe géant (le Bloc), il est accueilli froidement.

Seuls au monde

Comme lui, une centaine de jeunes garçons sont arrivés un jour sans explication et en ayant perdu toute mémoire. Eux ont fini par se structurer en une société bancale, avec un leader et tous un tas de rôle plus ou moins définis.

Le labyrinthe, impressionnant!

Le nouveau venu est convaincu qu’il peut s’échapper… Il tente donc sa chance au cœur même du labyrinthe dont la forme évolue chaque nuit. Parviendra-t-il à trouver une issue ? Survivra-t-il à cet étrange mal qui menace ses compagnons ? Qui est donc le dernier arrivant? Pourquoi est-ce une fille la seule fille? ? 

Rescapés

Dans la lignée des adaptations de littérature adolescente à succès, ce « Labyrinthe » est aux garçons ce que « Divergente » était aux filles : un thriller post-apocalyptique à sensation forte, où l’intelligence et le courage d’un seul servira la cause de tous.

Dylan O'Brien et Ki Hong Lee étudiant la maquette du labyrinthe

Pourtant, et même si l’intrigue de départ crée un suspense réel tant le labyrinthe est inhospitalier et qu’il paraît impossible d’y échapper, le film ne captive pas jusqu’au bout. Comme si le récit du roman de James Dashner était trop riche et qu’en le simplifiant pour en faire un film, il en avait perdu sa singularité. L’ennui monte et le pourquoi du sort de ces garçons perdus et pourtant enthousiastes n’a finalement plus beaucoup d’importance…

De Wes Ball, avec Dylan O’Brien, Thomas Brodie-Sangster, Kaya Scodalerio…

2014 – USA – 1h54

En partenariat avec Grains de Sel

Egg/Oeuf, le héros des Boxtrolls, mi-boîte, mi humain
15 octobre 2014

Les Boxtrolls

Véronique LE BRIS / Non classé Angleterre, boîte, Boxtroll, conte, enfants, enquête, Etats-Unis, injustice / 0 Comments

Dès 5 ans

Les boxtrolls sont des (gentils) monstres qui vivent sous terre et ne sortent que la nuit pour récupérer les objets que les habitants de Cheesebridge ont jeté à la poubelle.

Petites boîtes

Ils doivent leur nom à leur carapace en carton,  chacun étant désigné par l’ancien contenu de la boîte : il y a « chaussure », « allumette » ou « œuf », un boxtroll mi-humain, mi-monstre que « poisson » a élevé comme son propre fils.

Egg/Oeuf, le héros des Boxtrolls, mi-boîte, mi humain

Mais, à Cheesebridge, on les déteste. On prétend qu’ils sont voleurs et néfastes, qu’ils kidnappent les enfants. L’ignoble Trappenard a même fait de leur éradication un objectif personnel. Il sait que c’est à ce prix qu’il parviendra à se hisser dans la haute société, celle des chapeaux blancs et des mangeurs de fromage.

Polar pour enfants

Réalisé par le studio Laïka, à qui l’on doit déjà les très réussis Coraline et L’étrange pouvoir de Norman, les Boxtrolls est un habile conte pour enfants, à la fois mignon, intelligent et apeurant.

L'univers récup à foison des Boxtrolls

A la frontière entre plusieurs genres cinématographiques, ce film réalisé en stop-motion, est une véritable enquête policière menée par deux enfants dans une Angleterre Victorienne décrite de manière décalée et amusante. Une belle réussite qui ré-enchante avec brio l’animation américaine. Un conseil : restez jusqu’à la toute fin du générique !

D’Anthony Stacchi et Graham Annable, avec les voix de Ben Kingsley/Michel Vuillermoz, Elle Fanning,  Isaac Hempstead Wright, Toni Colette…

2014 – USA – 1h37

En partenariat avec Grains de Sel

Johan et son papa, dans A la recherche du roi Plumes
15 octobre 2014

A la recherche du Roi Plumes

Véronique LE BRIS / Non classé deuil, Esben Toft Jacobsen, mère malade, mort, recherche royaume des morts / 0 Comments

Dès 6 ans

Comment aborder les sujets les plus durs, et notamment le deuil dans les films animés pour enfants ? Certainement pas à la manière de Esben Toft Jacobsen, le réalisateur de L’Ours Montagne, qui se risque ici sur une pente dangereuse.

Retrouver sa mère morte

Johan est un jeune lapin qui vit avec son père sur un bateau, au milieu de l’océan, depuis que le Roi Plumes a emporté sa maman. Alors qu’il est seul à bord, Johan capte un mystérieux message et décide de partir retrouver sa mère.

Johan et son papa, dans A la recherche du roi Plumes

Jusqu’ici, tout va bien, mais une fois qu’il arrive au royaume du Roi Plumes, le récit se gâte. Non seulement Johan finit par retrouver sa mère et par se serrer dans ses bras, mais l’histoire laisse entendre qu’il pourra continuer à converser avec elle, une fois revenu parmi les vivants.

Mensonges

Le sujet est trop grave pour être traité ainsi, à la légère. Les psychologues nous ont appris à ne jamais mentir aux enfants. Prétendre qu’ils peuvent, en se jetant à la mer (sans même savoir nager !), repartir embrasser des êtres aimés disparus, semble complètement irresponsable et peut-être même traumatique.

Johan et le crapeau, gardien du royaume du Roi Plumes

Pour ceux que cela ne rebuterait pas, le graphisme est agréable sans être extraordinaire et les voix des personnages agaçantes.

De Esben Toft jacobsen. 

Durée : 1 h18

En partenariat avec Grains de Sel

15 octobre 2014

Samba

Véronique LE BRIS / Mon blog actrice, adaptation, Charlotte Gainsbourg, cinéma français, Eric Toledano, Izia Higelin, Omar Sy, sans papiers / 1 Comment

Trois ans après Intouchables (plus de 19 millions d’entrées en France), le trio Omar Sy, Eric Toledano et Olivier Nakache est de retour avec Samba. Avec de nouvelles têtes à leur côté et un sujet grinçant.

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Sylvie Ohayon
8 octobre 2014

Papa was not a rolling stone

Véronique LE BRIS / Mon blog 1980's, ascension sociale, banlieue, condition, études, fille, La Courneuve, littérature, origine, Paris, pub / 0 Comments

Sylvie Ohayon : « Aie une belle vie. Ce sera ta meilleure revanche »

Sylvie OhayonGrandie à la Cité des 4000 de La Courneuve sans père mais dans une vraie famille juive, violentée et insultée par son beau-père, Sylvie Ohayon s’en est sortie grâce à son goût des mots, des livres et des études. Après une riche carrière dans la pub, elle écrit l’histoire de son enfance « Papa was not a Rolling Stone » , son premier livre publié en 2011, qu’elle adapte aujourd’hui en film.

Pourquoi ce titre ?

Dans la pub, je faisais tout le temps des titres. Mais,quand il a fallu titrer mon livre, j’étais bloquée. Un ami m’a dit : «  ton père, c’était pas un Rolling Stone ! ». Et c’est le moins qu’on puisse dire ! Non seulement il m’était inconnu, mais il n’était pas rock n’roll.

Il n’y a pas de référence à la chanson des Temptations? 

Si, on l’entend au début du film…

Je veux dire aux paroles de la chanson : un enfant demande à sa mère pourquoi il n’a jamais vu son père, un bad boy dont on comprend en sous-texte qu’il était en prison ?

Euh… Si, bien sûr, je le disais dans le livre que mon père était un prisonnier au long cours…

Est-ce que votre film est aussi autobiographique que vous le revendiquez ?

La réalité était plus intense, donc moins crédible. Oui, c’est mon histoire que j’ai criée, expulsée quand j’étais au plus bas, en plein divorce et sans boulot. C’est mon second mari qui m’a poussée à « cracher mon histoire en la camouflant sous le désinfectant roman ». Ca a été salvateur.

Pourquoi en faire un film ?

Quand j’ai fini de l’écrire, je suis allée voir Stella de Sylvie Verheyde, un film qui m’a bouleversée. Je lui ai envoyé mon manuscrit pour qu’elle le lise et s’il lui plaisait, qu’elle adapte au cinéma. Elle a accepté de m’aider mais pas de le réaliser. Et m’a dit que j’étais folle de vouloir confier mon histoire à quelqu’un d’autre. Elle a participé au scénario, au casting et je l’ai appelé tous les soirs du tournage…

Elle vous a donné des conseils techniques ?

Elle m’a surtout aidée à révéler mes sentiments et mes émotions. Elle m’a appris à lâcher prise, à laisser couler la sève et le sang. La technique est un faux problème. Il faut surtout un point de vue et de la volonté. J’ai tenu à tourner en 35mm, à l’ancienne, sans caméra numérique, comme dans les années 1980 durant lesquelles le film se passe.

A ce propos, la reconstitution des 80’s est très bien faite, mais pourquoi vos personnages parlent-ils comme aujourd’hui? 

Pas du tout ! J’ai un rapport tellement fort à la langue –j’en parle dans mon deuxième livre d’ailleurs – que je peux vous assurer que toutes les expressions utilisées l’étaient à l’époque. A la Courneuve, on disait déjà  relou, rebeu, mytho, mythologue. Chez nous, la langue était plus libre, plus fleurie. Ces mots se sont diffusés et ont ensuite été rattrapés par Paris, comme le Verlan dans les années 1960.

Est-ce qu’être une fille a été une chance dans votre parcours ?

C’est difficile à dire. Je sais que dans la pub, j’ai vraiment été recrutée sur mon cul. Ca a été une claque, moi qui avais tout misé sur mes diplômes ! Mais, je ne suis pas sûre qu’en banlieue, il y ait un déterminisme sexuel. Kamel –Ouali – s’en est bien sorti par la danse.

Doria Achour et Soumaye Bocoum

On a finalement peu de témoignages de fille sur la vie en cité.

Moi, j’ai surtout tenu à montrer des filles qui font des études, qui ont une sexualité normale, qui tombent amoureuses. A mon époque, les rebeu, les juives, les autres, on portait de shorts, on chantait dans la rue. C’est vrai qu’il ne fallait pas dire qu’on couchait, les filles se faisaient recoudre, mais on avait le droit d’aimer. Aujourd’hui, c’est plus compliqué : tout s’est radicalisé et paupérisé. Le voile a fait son apparition, des migrants qui ne parlent pas français sont arrivés. Or, la langue était notre lien intercommunautaire.

Retournez-vous à la Courneuve ?

Souvent ! J’en suis partie à 26 ans. Mais, je vais voir ma mère et ma grand-mère tous les week-ends et je suis restée amie avec mes copines d’enfance.

Soumaye Bocoum et Doria Achour à la Courneuve
En revanche, vous dîtes qu’avoir grandi sans père a été une chance.

Du coup, je n’ai pas eu de limite. Je n’ai pas eu de figure d’autorité. J’ai bâti mes propres cadres, qui sont très cohérents avec ce que je suis vraiment.

Vous n’aviez pas de père, mais bien un beau-père. Atroce en plus.

Oui, il était violent, me tapait et m’insultait tout le temps. Mais, ça glissait sur moi, parce que justement, ce n’était pas mon père. Et avoir lu Fitzgerald m’a sauvée : « Aie une bonne vie, ce sera ta meilleure revanche »

Justement, tendez-vous la main à ceux qui comme vous voudraient échapper à leur condition ?

Ecrire des livres, c’est déjà tendre la main. La seule chose que j’enseigne, c’est que quand on te fout à terre, il faut te relever. Avance, donne-leur tort. Fitzgerald, encore. La vengeance n’est jamais gagnante, la revanche, si.

En quatre ans, vous avez écrit trois livres, réalisé un film. Et maintenant ?

Les bourgeoises, le deuxième livre de Sylvie OhayonBonne à (re)marier, 3e livre de Sylvie Ohayon

J’ai un contrat pour adapter mes deux livres, Les Bourgeoises et Bonne à (re)marier, au cinéma. En janvier, sort mon quatrième livre, L’une contre l’autre, une fiction qui parle du racisme anti-français dans les cités et j’ai déjà commencé à écrire le cinquième.

Lire la critique Papa was not a Rolling Stone.

https://youtu.be/Qj4M0-y4xyU
8 octobre 2014

Mommy

Véronique LE BRIS / Films, Mon blog actrice, adolescence, Anne Dorval, Festival de Cannes, fils, mère, passion, Xavier Dolan / 2 Comments

Mommy de Xavier Dolan est un film bourré de talents et d’émotion. Un film qui terrasse et bouleverse jusqu’à l’os. Bravo !

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