Mi bestia
Le 6 juin 1996 à Bogota, le monde change pour la réalisatrice, Camila Beltran. Mi Bestia s’inspire de sa vie, de ses souvenirs et des événements de ce jour-là. A l’Acid le 17 mai.
Les films que Ciné-Woman recommande… ou pas.
Trois Français partent au Cambodge trois ans après la prise du pouvoir par les khmères rouges. En attendant leur Rendez-vous avec Pol Pot, ils découvrent la réalité du régime. Le nouveau film de Rithy Panh est révélé le 16 mai à Cannes Première.
Faut-il sauver les autres pour se sauver soi-même ? Sur un thème souvent rabattu, Julie Navarro mène avec intelligence Quelques jours pas plus, un premier film intéressant et pas convenu. On y court !
Léa Glob, une cinéaste danoise, filme Apolonia Sokol pendant 13 ans et accompagne ainsi l’émergence d’une artiste-peintre féministe de premier plan. Passionnant.
Une centaine journalistes de cinéma des Paris Film Critics Awards 2024 ont choisi les films pré-sélectionnés. Découvrez leurs choix.
Avec Jeunes filles en uniforme, Léontine Sagan a, dès 1931, révolutionné le film de pensionnat en abordant frontalement le désir lesbien. Le film est devenu un emblème du cinéma queer.
Comment filmer le mal absolu en le laissant hors champs ? En racontant le quotidien de ceux qui l’organisent, Jonathan Glazer signe avec La zone d’intérêt un film essentiel d’une puissance inouïe.
Elle est la première femme italienne, la Primadonna, à refuser le « mariage réparateur », cette coutume barbare qui oblige les femmes viol(ent)ées à épouser leur agresseur. Instructif.
Avec Pauvres créatures, Yorgos Lanthimos signe un film baroque sur une émancipation féminine (encore ? Oui!). Fantastique ? Certes, mais la forme prime sur le fond.
Avec Iris et les hommes, Caroline Vignal revient sur les (mes)aventures amoureuses d’une quadra. Sans l’originalité, la causticité d’Antoinette dans les Cévennes. Fade.