Julieta – Cannes 2016
Avec Julieta, son 21eme long métrage, Pedro Almodovar revient au portrait de femme que la vie n’a pas épargnée, sans la folie singulière qui l’a souvent distingué.
Les films que Ciné-Woman recommande… ou pas.
Avec Julieta, son 21eme long métrage, Pedro Almodovar revient au portrait de femme que la vie n’a pas épargnée, sans la folie singulière qui l’a souvent distingué.
6% des 250 plus gros films américains de 2014 ont été réalisés par des femmes et moins de 20% des films indépendants. Mais il n’en a pas toujours été ainsi comme le montre Et la femme créa Hollywood, le passionnant documentaire de Julia et Clara Kuperberg.
Avec Money Monster, Jodie Foster rentre dans le cercle très fermé des réalisatrices de films d’action. Elle s’applique à tenir son rôle. De là à prétendre qu’elle renouvelle le genre…
C’est donc avec Cafe Society, le 46e long métrage de Woody Allen que le 69e Festival de Cannes a ouvert ses portes mercredi 12 mai 2016. Un air de déjà vu, agréable certes, précis mais pas un très grand cru.
Comment définir la relation entre deux sœurs, même adultes. C’est le propos de Sisters, la nouvelle comédie de Tina Fey et Amy Poehler, le duo américain féminin à la mode. Ça dépote, c’est de très mauvais goût mais est-ce drôle?
La galère fantaisiste d’une jeune trentenaire paumée qui retrouve un sens à sa vie non pas à Baden Baden mais à Strasbourg. Le premier film, charmant de Rachel Lang.
10949 femmes algériennes sont officiellement considérées comme des moujiahidettes, ces anciennes combattantes de la guerre d’Algérie. Pas Nassyma Hablal, à qui ce film est consacré. Elle a pourtant été une des premières femmes à militer et à se battre pour l’indépendance de son pays.
Raymond Depardon est un homme de concept. La preuve avec Les habitants, son nouveau documentaire qui donne la parole aux français. Tout simplement.
13 femmes sont coincées dans un salon de coiffure à Gaza. Voilà Dégradé, un huis-clos courageux mais décevant signé des charismatiques jumeaux Tarzan et Arab Nasser.
Christophe Honoré offre une lecture modernisée et psychologique des Malheurs de Sophie, le classique français de la littérature enfantine de la Comtesse de Ségur.