Avant la fin de l’été
Avant la fin de l’été est le premier film de la franco-belgo-suisse Maryam Goormaghtigh. Un road-movie attachant dans la France actuelle regardée avec un intérêt varié par trois iraniens immigrés à Paris.
Les films que Ciné-Woman recommande… ou pas.
Avant la fin de l’été est le premier film de la franco-belgo-suisse Maryam Goormaghtigh. Un road-movie attachant dans la France actuelle regardée avec un intérêt varié par trois iraniens immigrés à Paris.
Ancienne journaliste et présentatrice du Journal du cinéma sur Canal+, Vérane Frédiani s’est depuis longtemps reconvertie dans la distribution puis dans la production. A la recherche des femmes chefs est son premier long métrage. Elle a choisit de réaliser un documentaire sur la place des femmes dans la gastronomie.
Quand deux photographes, Agnès Varda et JR, se rencontrent, qu’est-ce qu’ils se racontent? Des histoires de photographes et ça donne : Visages villages, Oeil d’or du Festival de Cannes 2017.
Wallay (Wallah? Dieu?) de Berni Goldblat raconte, sans les clichés habituels, l’initiation d’un jeune de banlieue à la culture du bled.
Rara de la chilienne Pepa San Martin traite de manière lumineuse de l’enfance dans une famille homosexuelle. Et du regard différent que la société pose sur elle. Salvateur.
Après le succès d’Ernest & Célestine, Benjamin Renner, son jeune réalisateur, revient au cinéma avec l’adaptation de sa propre BD : Le grand méchant renard et autres contes. Et c’est très formidable!
Ava a 13 ans et plein d’incertitudes. En vacances avec sa mère dans une station balnéaire du sud-ouest de la France, elle ouvre les yeux à la vie à mesure qu’elle perd la vue. Le premier film ambitieux de Léa Mysius.
Nothingwood, c’est l’Afghanistan de Salim Shaheen, un acteur-réalisateur et producteur prolixe dont la journaliste Sonia Kronlund dresse ici le portrait. Décapant !
Un prof d’université se retrouve à cohabiter avec sa fille et sa nouvelle compagne qui ont le même âge. Cette belle entente cédera-t-elle aux charmes de l’amant d’un jour ? Philippe Garrel est de retour, avec ses obsessions.
Vincent Lindon campe le sculpteur Rodin sous la caméra de Jacques Doillon. Une association qui donne envie mais qui n’est que très partiellement réussie.