Fuori
Consacrer un film à la grande écrivaine italienne, Goliarda Sapienza, pourquoi pas ? Mais pas celui de Mario Martone. Fuori était en compétition officielle au 78e Festival de Cannes dont il est reparti bredouille.
Consacrer un film à la grande écrivaine italienne, Goliarda Sapienza, pourquoi pas ? Mais pas celui de Mario Martone. Fuori était en compétition officielle au 78e Festival de Cannes dont il est reparti bredouille.
Lucas Belvaux adapte son roman, Les tourmentés, en un film noir qui hésite trop entre action et drame psychologique. Dommage.
Avec Alpha, son 3e long métrage, Julia Ducournau confirme son obsession de la mutation des corps ou de la difficile émancipation de l’autorité parentale. Elle s’affirme surtout comme une réalisatrice aux idées de mise en scène époustouflantes.
La petite dernière, le 3e film d’Hafsia Herzi, est une adaptation sans effet de l’autofiction de Fatima Daas. Son audace est ailleurs. Le film a reçu le prix d’interprétation féminine remis à Nadia Melliti et la Queer Palm.
Garder la trace des folk songs américaines comme celle de l’amour d’une vie, c’est le propos The history of sound d’Olivier Habermus, un film long à venir, en compétition officielle au 78e Festival de Cannes.
Des jeunes d’un quartier se retrouvent autour d’un centre de loisirs pour enfants. Les filles Désir de Prïncia Car était présenté à la Quinzaine des Cinéastes. Et l’ambiance de la salle était survoltée !
Derrière la palme d’or à Jafar Panahi pour Un simple accident, le 78e Festival de Cannes remet des nombreux prix, mais peu aux femmes. Voilà les principaux.
Dans Woman and child, Saeed Roustaee accable tant une femme iranienne d’une surenchère de drames intimes que cela devient indigeste ! En compétition officielle au 78e festival de Cannes.
En entendant Clémentine Autain parler de sa mère décédée jeune, Romane Bohringer trouve un écho à sa propre histoire. Elle l’affronte dans un film hybride. Dîtes-lui que je l’aime était en sélection officielle hors compétition au 78e Festival de Cannes.
La veille de ses 29 ans, Nino apprend qu’il est gravement malade et il n’a que 3 jours pour sortir du déni. Un premier film de Pauline Loquès doux sur la prise de conscience mais qui manque de corps pour rester inoubliable.