Amour apocalypse
L’anxieux gardien d’un chenil trouve l’occasion de donner du sens à sa vie. Amour Apocalypse est une comédie ultra-contemporaine de la québécoise Anne Emond. A la Quinzaine des Cinéastes.
L’anxieux gardien d’un chenil trouve l’occasion de donner du sens à sa vie. Amour Apocalypse est une comédie ultra-contemporaine de la québécoise Anne Emond. A la Quinzaine des Cinéastes.
Une artiste confidentielle s’investit pour sortir un flûtiste classique d’une dépression sévère en lui proposant une nouvelle manière de se produire. A light that never goes out, titrée en français La lumière ne meurt jamais a le charme et les défauts des premiers films. A l’ACID 2025. En salle le 4 février 2026.
Un couple lesbien attend un enfant. Rien n’est simple. Des preuves d’amour est un premier film sincère d’Alice Douard, présenté à la Semaine de la Critique, le 17 mai, journée mondiale contre l’homophobie.
Derrière ce titre à la morale catholique, se cache une charge punitive contre les femmes et leur désir. Que ma volonté soit faite, le troisième film de Julia Kowalski, est présenté à la Quinzaine des Cinéastes.
Le destin subtilement raconté de trois femmes sub-sahariennes en Tunisie. Promis le ciel d’Erige Sehiri fera l’ouverture de la sélection officielle Un Certain Regard au 78e Festival de Cannes le 14 mai 2025.
Sur un vieux tube de Stone et Charden, Sophie Letourneur poursuit son exploration des vacances en Italie, en famille cette fois. Répétitif, scato et pas drôle, le film ouvre l’ACID le 14 mai.
Partir un jour, la comédie musicale d’Amélie Bonnin, ouvre le 78e Festival de Cannes. Ce premier film était pas taillé pour, malgré son petit charme et Juliette Armanet.
L’histoire du cinéma de s’invite au 78e Festival de Cannes avec la sélection Cannes Classics 2025. Découvrez de quoi sera faite cette plongée dans notre patrimoine. Du 13 au 24 mai 2025.
La 64e Semaine de la critique mise sur la découverte de nouveaux talents, pour majorité, féminins. A vivre et à voir du 14 au 22 mai 2025.
Il lui a suffi de deux documentaires inspirés par sa famille pour remporter le Prix Alice Guy. Bye bye Tibériade, révélé à la Mostra de Venise et qui a représenté la Palestine à l’Oscar, installe Lina Soualem au cœur de la nouvelle génération des réalisatrices qui comptent.