Dirty god
Défigurée à l’acide par son ex, Jade tente de se reconstruire. Dirty god de Sacha Polak s’intéresse aux conséquences. Pas au geste. Etonnamment positif.
Les films que Ciné-Woman recommande… ou pas.
Défigurée à l’acide par son ex, Jade tente de se reconstruire. Dirty god de Sacha Polak s’intéresse aux conséquences. Pas au geste. Etonnamment positif.
Un jeune couple juif mais moyennement pratiquant par en Pologne sur la terre de ses ancêtres. Drôle de Lune de miel vécue et racontée ici sans phares par l’actrice Elise Otzenberger.
Avec Charlotte a 17 ans, la réalisatrice québécoise Sophie Lorain scrute la vie sexuelle du point de vie d’une adolescente. Et c’est rafraîchissant!
Isabelle Huppert en psychopathe hongroise? Pourquoi pas? Avec Greta de Neil Jordan, elle allonge la longue des emplois différents qu’elle est capable de jouer. Tous, en fait !
Poseur, le nouveau court-métrage de Margot Abascal est à voir de toute urgence. Sur France 2, au Festival Côté court à Pantin ou au cinéma. Regardez !
Une famille au chômage trouve l’opportunité de s’installer dans la maison d’une famille très aisée. Et tout dégénère. Parasite de Bong Joon-Ho a remporté une palme d’or méritée au Festival de Cannes 2019.
Six ans après La vie d’Adèle, palme d’or 2013, Abdellatif Kechiche revient présenter en compétition Mektoub, my love : Intermezzo, la suite du premier opus. Rien de neuf sous les boules à facettes.
Un pianiste virtuose lutte contre la schizophrénie qui l’empêche de vivre. C’est le sujet de Solo du documentariste français Artemis Benki, sélectionné à l’Acid 2019.
En Galice au nord de l’Espagne, la nature est plus forte que la volonté de l’homme. C’est ce que montre Viendra le feu d’Olivier Laxe, un film austère mais superbe, présenté à Un certain Regard.