Mon Top 10 2016
L’année 2016 a-t-elle brillé en terme de cinéma? Cine-Woman vous livre son Top 10 2016 et même un peu plus.
L’année 2016 a-t-elle brillé en terme de cinéma? Cine-Woman vous livre son Top 10 2016 et même un peu plus.
Petit bout de femme de 27 ans au parcours incroyable, Shahrbanoo Sadat est afghane et réalisatrice. Elle est venue présenter son deuxième long métrage Wolf and sheep, qui sort ce 30 novembre 2016 sur les écrans français. Après avoir été sélectionné à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes en mai 2016.
Willy 1er raconte l’histoire d’un renouveau, d’une résurrection même. Mais, sans toujours garder la caméra à la bonne distance. Ce premier film réalisé à 4 mains était présenté à l’Acid 2016.
Xavier de Lauzanne s’est installé à Phnom Penh au Cambodge. Il y rencontre Christian et Marie-France des Palières, un couple de retraités extraordinaire dont il raconte l’histoire dans Les pépites. Il y avait urgence. Malheureusement, Christian des Pallières est décédé, à 82 ans, quinze jours avant la sortie du film.
Le drame des migrants tel qu’il est vécu à Lampedusa, petite île perdue au sud de la Méditerranée mais déjà en Europe. Fuocoammare de Gianfranco Rosi a remporté l’Ours d’or de la 66ème Berlinale. Mérité? Nécessaire, avant tout.
Avec Vendanges, Paul Lacoste se perd dans son ambition de parler des gens, de la précarité du travail et de la vigne. Un deuxième long métrage pour le cinéma hors-sujet!
Casablancas ou l’histoire d’une comète qui a dominé le monde de la beauté, en lançant l’agence Elite et l’ère des super top models. Un documentaire passionnant revient sur cette période révolue.
L’agence Elite, ça vous dit quelque chose? Pour tout savoir sur son créateur, John Casablancas, Cine-Woman organise un concours pour ses lectrices/eurs. Prêt(e)s à gagner?
Une fois les sélections tombées, le Festival de Cannes 2016 se pare de tout un tas d’événements, d’hommages au patrimoine, de talks-shows… En voici une liste non exhaustive.
10949 femmes algériennes sont officiellement considérées comme des moujiahidettes, ces anciennes combattantes de la guerre d’Algérie. Pas Nassyma Hablal, à qui ce film est consacré. Elle a pourtant été une des premières femmes à militer et à se battre pour l’indépendance de son pays.