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Gemma Arterton, Fabrice Luchini et Flaubert
10 septembre 2014

Gemma Bovery

Véronique LE BRIS / Mon blog Amour, Anne Fontaine, boulangerie, Fabrice Luchini, Flaubert, Gemma Arterton, Gemma Bovery, Normandie / 0 Comments

La vie d’une autre

Il y a sept ans que Martin (Fabrice Luchini), ex-critique littéraire, a délaissé Paris pour reprendre la boulangerie de son village d’origine, en Normandie. Sa vie s’écoule au rythme de son pétrin quand de nouveaux voisins viennent s’installer en face de chez lui. Une histoire banale si ces nouveaux venus n’avaient pour nom Gemma et Charles Bovery…

Amoureux d’une héroïne

Le point de départ de ce film littéraire est un roman graphique anglais de Posy Simmonds qu’Anne Fontaine a choisi d’adapter. Une BD caustique qui se moque des néo-ruraux, des yuppies anglais et de la culture romanesque. 

Gemma Arterton, Fabrice Luchini et Flaubert

Martin tombe immédiatement amoureux de Gemma. Ou plutôt de l’idée qu’il se fait de Gemma, ce double contemporain d’Emma Bovary, dont il dessine le destin en suivant pas à pas le livre de Gustave Flaubert. Cet amour par procuration est à la fois l’événement et la douleur de sa vie. Il devient même son obsession et un dessein qu’il entreprend de modeler comme ses miches (de pain). 

Rêver sa vie

Gemma (Gemma Arterton, à la sensualité torride), elle, n’a pas lu Flaubert et entend bien vivre sa vie comme elle en a envie. L’amour de son mari Charles (Jason Flemyng) ne lui suffira bientôt plus et c’est avec délice qu’elle va se glisser dans une relation adultère avec le châtelain du village, le jeune bellâtre Hervé de Bressigny (Niels Schneider), sans parvenir à oublier ni son ennui, ni ses déceptions. 

Niels Schneider et Gemma Arterton

Oublions tout de suite la fin grotesque, et la toute fin, virgule amusante, de ce film ambitieux mais pas totalement réussi. La trame narrative, bien qu’originale, souffre de pas de côté contemporains qui alourdissent le propos. Par exemple, les personnages caricaturaux d’Elsa Zylberstein et de son mari gonflent artificiellement cette critique de ses nouveaux snobs venus envahir à grand renforts de fric et de mauvais goût l’authenticité des campagnes. De plus, la manière dont Anne Fontaine se débarrasse de son héroïne, n’a aucune finesse, un peu comme la musique pesante qui sur-signifie l’époque contemporaine de manière choquante. . 

Luchini, sur mesure

En revanche, le casting est formidable: le rôle était incontestablement taillé pour Fabrice Luchini, qui parvient la plupart du temps à contrôler ses pulsions démonstratives pour un peu plus d’émotion. La scène où il se déclare en metteur en scène de la vie d’Emma, au marché, est à cet égard savoureuse, comme celle où il lui apprend à pétrir le pain. Emma Arterton, débordante d’une sensualité naturelle, est merveilleuse, appétissante, enjôleuse à souhait en partie grâce son très joli accent anglais.

Fabrice Luchini et Emma Arterton

L’autre intérêt du film tient à ce qu’il est avant tout une comédie romantique, platonique, un amour non consommé mais d’autant plus ardent. Un genre où Anne Fontaine est désormais plus à l’aise que dans la parodie dont elle étaye, parfois et souvent à contretemps, son propos. 

D’Anne Fontaine, avec Fabrice Luchini, Gemma Arterton, Jason Flemyng, Isabelle Candelier, Niels Schneider…

2014 – France – 1h39

Avi Shnaidman (Yoav)
10 septembre 2014

L’institutrice

Véronique LE BRIS / Mon blog enfant, institutrice, Israël, liberté rentabilité, poème, poésie / 0 Comments

La poésie, un art extrême

Nira est institutrice. Elle enseigne en maternelle depuis plusieurs années et ses méthodes n’ont jamais dérogé à la règle. Mais, quand elle décèle chez Yoav, un petit garçon de 5 ans, un talent inné pour la poésie, elle est littéralement fascinée. Persuadée d’être investie d’une mission que personne ne lui a pourtant confiée, elle est prête à tout pour révéler à tous le génie pur de cet enfant.

Révélations

L’institutrice est l’histoire d’une folie ordinaire, celle qui gagne quand l’ennui a triomphé de l’excitation de la vie. Nira n’est pas folle, loin de là. Elle essaie surtout de redonner du piment à son existence un peu morne – un vieux mari, des enfants devenus autonomes…-. D’ailleurs, elle participe elle-même à des ateliers de poésie et se confronte à chaque fois aux limites de son inspiration, de son talent.

Avi Shnaidman (Yoav)

Quand elle entend Yoav déclamer ses vers libres, spontanément, elle est subjuguée, révélée. Pour elle, Yoav est un génie incompris, notamment pour son père qui s’oppose farouchement aux conseils de l’institutrice. Elle n’en tiendra pas compte…

Poésie dans un monde de brutes

Faire aujourd’hui un film ayant pour thème principal la poésie est vraiment gonflé. Comment intéresser en image à partir d’un sujet considéré comme aussi superfétatoire et en rupture total avec la recherche effrénée de rentabilité à outrance ? Voilà justement le propos de ce jeune cinéaste israélien qui en profite pour imposer une caméra sereine, simple, et à juste distance de ses deux protagonistes : une institutrice ultra, libre de ses convictions et un enfant charmeur et déjà manipulateur.

Sarit Larry (Nira) et Avi Shnaidman (Yoav)dans la cour de l'école

Pourtant, son propos, aérien, perd de sa puissance en devenant irrationnel. Et la confrontation entre la fausse naïveté de l’enfant et la liberté que s’autorise l’institutrice, investie d’une mission absolue, prend un envol extrême inattendu et inconcevable qui, du coup, annihile la légèreté qui avait prédominé jusqu’alors. Ce film, le second du réalisateur, était présenté en séance spéciale à la Semaine de la Critique, en mai 2014. 

De Nadav Lapid, avec Sarit Larry, Avi Shnaidman, Lior Raz…

2014 – Israël – 2h

La Fondation Jérôme Seydoux-Pathé, ave des Gobelins Paris 13
5 septembre 2014

Patrimoine

Véronique LE BRIS / Mon blog cinéma, fondation, Pathé, patrimoine, recherche, Seydoux / 0 Comments

Pathé dévoile sa Fondation

La Fondation Jérôme Seydoux-Pathé, ave des Gobelins Paris 13

Mercredi 10 septembre 2014, la nouvelle Fondation Jérôme Seydoux-Pathé ouvre au public les portes de son bâtiment tout neuf, dessiné par Renzo Piano.

Rodin et Piano

Située dans l’ancien théâtre puis cinéma des Gobelins, fermé depuis 2003, dans le XIIIe arrondissement de Paris, ce bâtiment épuré derrière sa façade sculptée par Rodin, regroupe à la fois un petit musée, d’un centre de documentation, des ateliers pour les enfants, une galerie d’exposition et une salle de projection de films de patrimoine.

La verrière signée Renzo Piano du centre de documentation

En plus de sa magnifique verrière signée Renzo Piano, qui vaut le coup d’œil, ce lieu concentre toutes les archives disponibles de la maison Pathé, depuis sa création en 1896 : des caméras et des projecteurs exposés au premier étage, des affiches, des photos de tournage, des livres de compte, des dossiers de presse et même des documents scientifiques qui servent aujourd’hui à la restauration des films anciens. On y trouve même le projet de cinémathèque imaginé en lieu et place de l’Hôtel Crillon décrit dans la correspondance qu’échangeaient Charles Pathé et Abel Gance.

Affiche Pathé du début du XXe siècle

Enfin, une salle de projection de 70 places, au sous-sol, propose un programme régulier de ciné-concerts pour (re)découvrir des films oubliés du septième art.

Fondation Jérôme Seydoux – Pathé, 73,ave des Gobelins – 75013 Paris. tel : 01 83 79 18 96. 

Photographies de Michel Denancé – Coll. Fondation Jérôme Seydoux-Pathé © 2014 – RPBW

Une fille, enfin un fils et son père
3 septembre 2014

Le secret de Kanwar

Véronique LE BRIS / Mon blog fille, garçon, identité sexuelle, Inde, mort, Pakistan, religion, secret, sexe, traditions / 0 Comments

Cacher ce sexe…

Umber Singh, le père d’une famille bourgeoise indienne et sikh, a déjà trois filles. Sa femme est à nouveau enceinte et il est impensable qu’elle mette au monde une autre fillette.

Garçon d’honneur

Umber veut un fils pour restaurer l’honneur qu’il a déjà perdu en abandonnant sa maison et en fuyant son village, lors de la partition de l’Inde et du Pakistan en 1947. L’enfant nait fille, mais Umber décide de cacher son sexe à tous et de l’élever comme un garçon. Il parvient même à le marier. Mais à quel prix ?

Une fille, enfin un fils et son père

Ce film dur, teinté d’exil, de mort et de malheurs, traite simplement de sujets très forts : le poids des traditions, notamment celle de l’honneur, l’identité sexuelle, l’autorité toute puissante du père et le traumatisme de la partition de l’Inde en 1947, souvent abordée dans le cinéma d’auteur indien.

Déni d’identité

Mais, les spectateurs enfants et adolescents seront sans doute surtout intéressés ou troublés par le fait d’avoir été élevé dans le déni de son sexe de naissance. Cette histoire, inspirée par des coutumes locales et l’expérience du réalisateur Anup Singh, est très maitrisée dans sa première partie plus narrative. Elle est moins compréhensible à la fin, quand les fantômes reviennent hanter les jeunes mariés en proie au doute et au choix de leur destinée, de toute façon malheureuse. 

D’Anup Singh, avec Irrfan Khan, Tisca Chopra, Tillotama Shome…

2013 – Inde – 1h49

En partenariat avec Grains de Sel

La milice bosniaque, après la guerre de Bosnie
3 septembre 2014

Irina La mallette rouge

Véronique LE BRIS / Mon blog bosniaque, Bosnie, enfance, ethnie, ex Yougoslavie, guerre après-guerre, histoire, Serbe / 0 Comments

Jeux interdits

En 1995, la guerre de Bosnie est finie. Mais, les conflits ethniques entre les Serbes et les Bosniaques, musulmans, sont loin d’être réglés. Après la mort de sa mère, Irina, fillette d’origine serbe, tente avec son père de quitter la zone dangereuse. Les miliciens sont à leurs trousses et parviennent à blesser gravement son père.

Bosniaques versus serbes

Irina n’a d’autre choix que de l’abandonner. Dans sa fuite, elle tombe sur une famille de paysans qui vit à l’écart et la recueille. Irina se lie d’une profonde amitié avec Malick, le fils et avec son chien.

La milice bosniaque, après la guerre de Bosnie

La guerre ou l’après-guerre, vus par les yeux d’un enfant, le sujet n’est pas nouveau mais il acquiert ici une acuité particulière à cause de sa proximité géographique et temporelle. Nous sommes au cœur de l’Europe, il y a moins de 20 ans !

Urbains versus paysans

Pourtant, on y trouve des paysans qui y vivent comme au XIXe siècle, dans une masure misérable sans eau, ni électricité mais avec, sous leur aspect bourru, le cœur sur la main et une tradition d’hospitalité vivace.

Irina croisant un véhicule de protection de l'ONU

Le récit s’émancipe peu à peu de ces descriptions convenues et l’histoire de cette petite Irina finit par prendre un tour plus captivant quand son amitié avec Malick devient un échange. mais, elle n’échappe ni à son ambition de téléfilm, ni aux aberrations scénaristiques. 

De Bernard Mazauric, avec Aman Bains, Matthew Shanfari, Chrystelle Labaude…

2013 – France – 1h27

En partenariat avec Grains de Sel

2 septembre 2014

Hippocrate

Véronique LE BRIS / Films, Mon blog cinéma français, médecin, Thomas Lilti / 0 Comments

Une plongée sincère dans l’univers hospitalier. Voilà Hippocrate, le second film de Thomas Lilti, passionné de cinéma et ancien médecin.

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27 août 2014

Party girl

Véronique LE BRIS / Mon blog Amour, cabaret, enfants, mariage, mère, party girl / 0 Comments

Présenté en ouverture du Certain Regard à Cannes 2014, Party girl, au titre alléchant et à la réputation alléchante, a reçu la Caméra d’or au Festival de Cannes 2014. Une surprise tant la déception est à la hauteur de la rumeur qui l’a précédée.

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18 juin 2014

L’interview de Diego Galan

Véronique LE BRIS / Mon blog, Interviews, Rencontres archive, Con la pata quebrada, Diego Galan, documentaire, Espagne, espagnoles, évolution de la condition féminine en Espagne, femme / 0 Comments

Grand critique de cinéma espagnol, Diego Galan signe un premier long métrage puissant. Con la pata quebrada est un documentaire constitué d’extraits de films sur l’évolution du statut de la femme en Espagne. Rencontre avec ce brillant connaisseur, féministe à sa façon.

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Marina Hands et Audrey Fleurot
4 juin 2014

Sous les jupes des filles

Véronique LE BRIS / Mon blog Audrey Dana, casting, comédie, femme, fille, Isabelle Adjani, Laetitia Casta, problème de femme, Vanessa Paradis / 0 Comments

La femme dans tous ses états

Difficile d’y échapper tant la promo du premier film d’Audrey Dana réalisatrice à été intense. Alors qu’attendre de cette énième film de femme, annoncé et revendiqué comme tel? 

11 fragments de femme

Rien, ou pas grand chose. Car, le moins que l’on puisse dire c’est qu’on n’y apprend rien, ni sur le comportement des femmes, ni sur celui des hommes (particulièrement falots ici). 

Marina Hands et Audrey Fleurot

Le principe est simple. En onze personnages (une équipe de foot!) qui s’entrecroisent plus ou moins, chacun étant porté par une star d’Isabelle Adjani à Vanessa Paradis en passant par Sylvie Testud ou Alice Taglioni -, Audrey Dana, elle aussi au casting mais pas dans le rôle le plus sympathique, pense dresser un portrait de la femme d’aujourd’hui, dans lequel on devrait se reconnaître AB-SO-LU-MENT. 

Gros sabots

Premier écueil : : va-t-on au cinéma pour retrouver sa vie sur grand écran? Pas sûr. 

Julie Ferrier, Vanessa Paradis et Alice Belaïdi

Deuxio : les caractères de ces personnages sont dessinés à tellement gros traits qu’il est impossible de s’identifier. Que dire de la mère de famille débordée qui plaque son mari et ses gosses pour vivre une passion avec la baby-sitter? Ou alors les diarrhées répétitives de Laetitia Casta dès qu’elle tombe amoureuse? Sans parler de l’idylle de la plouc du coin avec la méga-star interplanétaire? 

Anti-féminin 

Si le film avait été réalisé par un homme, on l’aurait sans doute traiter de mizogyne. On passera élégamment sur l’humour même pas potache mais carrément vulgaire, niveau pipa-caca de nombreuses scènes. 

Marina Hands, Alice Taglioni, Vanessa Paradis et Alice Belaïdi

Avec un casting et une promo pareils et surtout une telle promesse, on était en droit d’attendre que ce film révolutionne justement la comédie de femmes pour les femmes. Au contraire, il enfile les clichés, les conventions, les maladresses et le mauvais goût. Et ce sont pas les quelques audaces – la scène du tampon en ouverture – ou le guilleret flashmob de la fin qui sauvent la mise. 

De et avec Audrey Dana, avec Isabelle Adjani, Laetitia Casta, Julie Ferrier, Audrey Fleurot, Marina Hands, Géraldine Nakache, Vanessa Paradis, Alice Taglioni, Sylvie Testud, Alice Belaïdi…

2014 – France – 1h58

© Luc Roux

Mira Barkhammar, Mira Grosin, Liv lemoyne et les garçons
4 juin 2014

We are the best

Véronique LE BRIS / Mon blog 1980's, ado, BD, musique, punk, rébellion, Suède, tranche de vie / 0 Comments

Punk is not dead!

« Punk is not dead ! ». Voilà le credo de Bobo, Klara et leur nouvelle copine Hedvig, trois copines de 13 ans qui s’ennuient ferme dans leur petite vie de collégienne.

Punk attitude

A Stockholm, en 1982, plus qu’ailleurs peut-être à cause du succès d’ABBA, le disco s’était imposé avec ses couleurs fluo, sa boule à facettes et ses rythmes chaloupés.

Mira Barkhammar, Mira Grosin, Liv lemoyne et les garçons

Il n’en faut pas plus pour que Bobo et Klara les deux meilleurs amies du monde, entrent en résistance : les cheveux en crête (enfin presque), elles jouent la provoc’ à haute dose, jouent avec les nerfs de leurs parents trop occupés, découvrent les fêtes, le vin, la bière et finissent, contre toute attente, par monter un groupe de rock trash… sans savoir jouer d’aucun instrument.

So 1980’s

Adapté de la BD « Never goodnight », écrite par sa femme, le film de Lukas Moodysson est une tranche de vie de trois adolescentes en 1982, une époque sans portable, sans ordinateur, sans facebook, où pour se voir, on traînait ensemble dans la rues, dans les fêtes après avoir monopolisé le téléphone familial pendant des heures.

Mira Barkhammar, Mira Grosin, Liv Lemoyne...

Une époque où l’autorité se contestait frontalement mais où l’espoir était encore de mise et la discussion (très présente ici), la meilleure façon d’exister, seul ou à plusieurs.

De Lukas Moodysson, avec Mira Barkhammar, Mira Grosin, Liv Lemoyne…

2013 – Suède – 1h37

En partenariat avec Grains de Sel

© Memfis Film / PA Jörgensen

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