Les Yatzkan
En rangeant les affaires de sa mère décédée, Anna-Célia Kendall-Yatzkan déroule un fil qui la tiendra occupée dix longues années. Le temps de retrouver la trace des Yatzkan, ses ancêtres.
Les films que Ciné-Woman recommande… ou pas.
En rangeant les affaires de sa mère décédée, Anna-Célia Kendall-Yatzkan déroule un fil qui la tiendra occupée dix longues années. Le temps de retrouver la trace des Yatzkan, ses ancêtres.
Un amour impossible est le titre polysémique du dernier roman de Christine Angot. Celui-là même que Catherine Corsini porte à l’écran. Il était temps que ces deux-là se confrontent. Pour le meilleur.
L’homme pressé, c’est Fabrice Luchini qui fait un AVC. Ce qui met sa carrière de cadre supérieur en péril. Et si cet AVC était la chance de sa vie ? Voilà le propos du premier film en solo d’Hervé Mimram. Bon…
Hollywood a enfin compris que le monde ne se limite pas aux caucasiens ! Mais Crazy rich asians est bien trop conventionnelle pour faire date. Sauf si la communauté asiatique prône à tout prix l’assimilation.
Il s’est fait un nom en composant les textes des chansons de Julien Clerc. Mais Etienne Roda-Gil était bien plus que cela. Ce que raconte Charlotte Silvera dans le documentaire hommage qu’elle lui consacre : On l’appelait Roda.
Un biopic sur Freddie Mercury, le leader de Queen, par Bryan Singer? Cine-Woman savoure cette Bohemian Rhapsody léchée et rythmée.
Avec Le grand bain et après Les infidèles, Gilles Lellouche, réalisateur, attaque encore le sujet de la masculinité dans un registre moins corrosif. On plonge ? On trempe un orteil. pas plus.
Capharnaüm de Nadine Labaki a frôlé la Palme d’or et est reparti du 71e Festival de Cannes avec le Prix du Jury. Une récompense méritée pour ce beau film sur l’enfance maltraitée au Liban.
Comment se séparer sans tout détruire? En étant inventif. Voilà le sujet de L’amour flou, le film de Romane Bohringer et Philippe Rebbot qui n’a rien à voir avec la myopie.