Happily ever after
Retrouver ses ex pour comprendre ce qui n’a pas fonctionné? Tatjana Bozic l’a fait et l’a filmé. Et ça donne Happily ever after.
Retrouver ses ex pour comprendre ce qui n’a pas fonctionné? Tatjana Bozic l’a fait et l’a filmé. Et ça donne Happily ever after.
Quatrième épisode d’une saga à succès qui mélange acteurs réels et chipmunks virtuels (sorte d’écureuils qui parlent et chantent), Alvin et les chipmunks – à fond la caisse est un film mené tambour battant et qui n’a, comme l’indique son titre, aucune autre ambition que d’être divertissant.
Encore heureux de Benoit Graffin est une comédie sociale enlevée avec un Edouard Baer et Sandrine Kiberlain au top. Un petit joyau!
Mistress America du couple Noam Baumbach et Greta Gerwig ou la meilleure preuve qu’une recette s’use et qu’il faut avoir l’humilité de se remettre en cause pour continuer à avoir du talent.
Crazy Amy Schumer ! C’est en l’entendant raconter sa vie sexuelle à la radio que Judd Apatow a décidé de l’adapter au cinéma. Et ça dépote!
Self made, une comédie de l’absurde du quotidien se transforme en un pamphlet politique. Normal, on est en Israël et c’est la brillante qui est aux commandes Shira Geffen.
Un homme en crise de la cinquantaine décide de larguer les amarres. Voilà Comme un avion, la nouvelle comédie pleine de charme de Bruno Podalydès. Réjouissant!
A trois on y va! Ok, mais où ça? Justement, malgré son humour un poil ambigu, le sixième long métrage de Jérôme Bonnell reste trop sur la réserve pour nous emmener loin. Dommage !
La saga de La nuit au musée prend fin avec ce troisième et dernier épisode. En usant jusqu’à la corde une bonne idée portée par Ben Stiller.
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? C’est un peu la devise de Pat et Mat, deux voisins-copains qui adorent faire du bricolage.
L’un comme l’autre ont un savoir-faire approximatif mais une imagination débordante. Et toute expérience de la vie quotidienne se transforme en une catastrophe difficile à anticiper. Mais, heureusement, ce sont aussi leurs idées farfelues qui finissent par les sauver. Ou pas.
Qu’ils soient dans la salle de bains, dans leur jardin en train de manger des saucisses, de jouer aux cartes ou bien en plein ménage à passer l’aspirateur (ce qu’ils détestent) ou dans leur grenier à regarder les étoiles, rien au départ ne permet de présager ce qui va leur arriver et c’est tant mieux !
Ces cinq courts-métrages signés du tchèque Marek Benes, le fils du créateur des personnages nés en 1976 et toujours diffusée à la télévision, sont une suite de gags plus amusants les uns que les autres, mais traités avec le plus grand sérieux. Pat comme Mat sont deux marionnettes toute simples, vêtues à l’ancienne et coiffées pour l’un d’un bonnet rayé et pour l’autre d’un béret.
Et, justement, c’est le décalage entre leur allure banale, leur environnement classique et leurs idées farfelues qui crée cet humour burlesque et attachant. Vite de nouveaux épisodes qu’on continue à rire d’aussi bon cœur !
République Tchéque – 0h40
En partenariat avec Grains de Sel