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Juliette Binoche dans Nobody wants the night d'Isabel Coixet
19 janvier 2015

65e Berlinale

Véronique LE BRIS / Mon blog Berlin., Berlinale, Compétition officielle, festival, février 2015 / 0 Comments

Les films attendus

Le 65e Festival International de Berlin qui se déroulera du 5 au 15 février 2015 a enfin dévoilé toute sa sélection. 

Il s’ouvrira avec Nobody wants the night d’Isabel Coixet, avec Juliette Binoche, Rinko Kikuchi, Gabriel Byrne… Ce film concourt pour l’Ours d’Or. 

Juliette Binoche dans Nobody wants the night d'Isabel Coixet

Sont aussi en compétition officielle : 

  • Aferim! de Radu Jude (Everybody in Our Family) avec Teodor Corban, Mihai Comanoiu, Cuzin Toma, Alexandru Dabija – Roumanie / Bulgarie / République tchèque. 
  • El botón de nácar (The Pearl Button) de Patricio Guzmán (Nostalgie de la lumière)- documentaire. France / Chili / Espagne. 
  • El Club (The Club) de Pablo Larraín (No) avec Roberto Farias, Antonia Zegers, Alfredo Castro… – Chili. 
  • Ten no chasuke (Chasuke’s Journey) de Sabu (Kanikosen, Dead Run), avec Ken’ichi Matsuyama, Ito Ohno… – Japon. 
  • Vergine giurata (Sworn Virgin) de Laura Bispuri, avec Alba Rohrwacher, Lars Eidinger, Flonja Kodheli… – Italie / Suisse / Allemagne, Albanie / Kosovo. Premier film. 
  • 45 Years by Andrew Haigh (Week-end), avec Charlotte Rampling, Tom Courtenay… – Royaume-Uni.
  • Als wir träumten (As We Were Dreaming) de Andreas Dresen, avec Merlin Rose, Julius Nitschkoff, Joel Basman… – Allemagne / France.
  • Body de Malgorzata Szumowska, avec Janusz Gajos, Maja Ostaszewska, Justyna Suwala… – Pologne. 
  • Cha và con và (Big Father, Small Father and Other Stories) de Phan Dang Di, avec Do Thi Hai Yen… – Vietnam / France / Allemagne / Pays-Bas. 
  • Eisenstein in Guanajuato de Peter Greenaway, avec Elmer Bäck, Luis Alberti… – Pays-Bas : Mexique / Belgique / Finlande. 
  • Ixcanul (Ixcanul Volcano) de Jayro Bustamante, avec María Mercedes Coroy, María Telón, Manuel Antún, Justo Lorenzo, Marvin Coroy… – Guatemala / France – Premier film
  • Journal d’une femme de chambre de Benoit Jacquot, avec Léa Seydoux, Vincent Lindon, Clotilde Mollet, Hervé Pierre, Vincent Lacoste… – France / Belgique. 
  • Knight of Cups de Terrence Malick, avec Christian Bale, Cate Blanchett, Natalie Portman… – USA.
  • Pod electricheskimi oblakami (Under Electric Clouds) d’Alexey German, avec Louis Franck, Merab Ninidze, Viktoriya Korotkova.. – Russie / Ukraine / Pologne. 
  • Queen of the Desert by Werner Herzog, avec Nicole Kidman, James Franco, Damian Lewis , Robert Pattinson… – USA.
  • Taxi de Jafar Panahi, avec Jafar Panahi… – Iran. 
  • Victoria de Sebastian Schipper, avec Laia Costa, Frederick Lau, Franz Rogowski, Burak Yigit… – Allemagne.
  • Yi bu zhi yao (Gone with the Bullets) de Jiang Wen, avec Wen Jiang, You Ge, Yun Zhou, Qi Shu, Huang Hung… – Chine / USA / Hong Kong. 

Hors compétition :

Ian McKellen dans M. Holmes de Bill Condon

  • Elser (13 Minutes) de Oliver Hirschbiegel (La chute) avec Christian Friedel, Katharina Schüttler… – Allemagne.  
  • Every thing will be fine de Wim Wenders, avec James Franco, Charlotte Gainsbourg, Marie-Josée Croze – Allemagne / Canada / France / Suèden / Norvège
  • Cendrillon de Kenneth Branagh, avec Cate Blanchett, Lily James, Richard Madden, Stellan Skarsgård, Helena Bonham Carter…  – USA.
  • Mr. Holmes de Bill Condon, avec Ian McKellen, Laura Linney, Milo Parker  – Royaume-Uni. 

Les autres productions ou co-productions françaises attendues : 

Sélection Panorama / documents : 
  • Je suis Annemarie Schwarzenbach de Véronique Aubouy 
  • Une jeunesse allemande de Jean-Gabriel Périot 
Au Forum : 
  • Ce gigantesque retournement de la terre de Claire Angelini.
  • Le dos rouge d’Antoine Barraud.
  • Exotica, Erotica, Etc. de Evangelia Kranioti.
  • La nuit et l’enfant de David Yon
  • La sirène de Faso Fani de Michel K. Zongo. 
  • Thamaniat wa ushrun laylan wa bayt min al-sheir (Twenty-Eight Nights and A Poem) de Akram Zaatari.
  • Viaggio nella dopo-storia de Vincent Dieutre.
  • Histoire de Judas de Rabah Ameur-Zaïmeche
  • Hotline by Silvina Landsmann.
Perspektive : 
  • Im Sommer wohnt er unten (Summers Downstairs) de Tom Sommerlatte, avec Sebastian Fräsdorf , Alice Pehlivanyan, Karin Hanczewski, Godehard Giese, William Peiro

A noter :

  • l’avant-première mondiale de Fifty Shades of Grey de Sam Taylor-Johnson avec Dakota Johnson and Jamie Dornan, le 11 février. 
  • la rétrospective et l’Ours d’honneur à Wim Wenders
  • l’hommage à Francesco Rosi. 

Le palmarès sera dévoilé le dimanche 15 février, l’Ours d’or et les autres prix seront choisis par un jury dirigé par Darren Aronofsky. 

©Leandro BETANCOR

La liste des victime de l'attentat contre Charlie Hebdo
8 janvier 2015

Je suis Charlie

Véronique LE BRIS / Mon blog 0 Comments

Liberté de la presse = démocratie

La liste des victime de l'attentat contre Charlie Hebdo

Parce que la liberté de la presse et la liberté d’expression sont des droits fondamentaux garantis par la Constitution de la Ve République, dans son préambule, qui fait directement référence à : 

Morts de rire, dessin de Chappatte

La Déclaration des Droits de l’homme et du citoyen de 1789 : 

Art. 11. La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi.
Dessin de Tom Hungerer en faveur de la liberté de la presse

La Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948 : 

Art. 19. Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit.
Je suis Charlie dans toutes les langues
Parce que Cine-Woman est réalisé et alimenté par une journaliste. Carte de Presse n°70083, une Charlie quoi. 
Chaleureuses pensées aux proches et aux familles des victimes de l’attaque de Charlie Hebdo. 
Louis Zamperini (Jack O'Connell), le troisième en partant de la gauche aux JO de Berlin en 1936
7 janvier 2015

Invincible

Véronique LE BRIS / Mon blog Angelina Jolie, exploit, guerre, héros, histoire varie, Japon, jeux olympiques, Louis Zamperini, torture, WWII / 0 Comments

La force du destin

Angelina Jolie est une guerrière. Dans ses films comme dans sa vie. Comme Lara Croft ou Mme Smith, qu’il s’agisse de se constituer une famille ou de prévenir un cancer du sein, pour elle, la meilleure défense est toujours l’attaque. 

En guerre

Le premier long métrage qu’elle a réalisé, Au pays du sang et du miel, traitait de la relation impossible entre une bosniaque et un soldat serbe durant la guerre de Bosnie. Sous couvert d’une protection, la femme devenait la maîtresse d’un de ses ennemis. Et même si elle l’avait aimé avant guerre, les circonstances avaient rendu cet amour inconvenant, insupportable. 

Louis Zamperini (Jack O'Connell), le troisième en partant de la gauche aux JO de Berlin en 1936

Invincible, Unbroken en VO, son deuxième film en tant que réalisatrice, raconte le destin à peine croyable de Louis Zamperini. 

Une bonne et une mauvaise nouvelle

Beau jeune homme un poil rebelle, immigré italien de la deuxième génération, Louis remporte une médaille de bronze lors des JO de Berlin, en 1936, alors qu’il n’était même pas favori.

Zamperini et deux autres soldats dérivent pendant 45 jours dans l'Océan Pacifique

Son espoir d’enrichir son palmarès sportif aux prochains Jeux Olympiques, prévus à Tokyo, se heurte à la seconde guerre mondiale où il sévit comme bombardier sur le front pacifique. Une de ses missions échoue. Il se retrouve naufragé sur un canot pneumatique, dérive pendant 45 jours avant d’être finalement sauvé par l’armée japonaise. 

Zamperini fut bombardier dans US Air force

Enfermé dans un camp de prisonniers qui relève plus du camp de redressement, il devient la bête noire d’un officier du camp. Tour à tour humilié, battu, laissé pour mort, il survit à tout miraculeusement. Libéré, il passera le reste de sa vie à pardonner. 

Fascinée par l’ultra-violence

Le vrai Louis Zamperini est mort en 2014, non sans être retourné au Japon, pays de malédiction pour lui, et y avoir couru les 5000m à Tokyo, à l’âge de 88 ans. 

Le camp japonais de Kwajalein

Destin hors du commun, Louis Zamperini, homme peut-être pas invincible mais au tempérament en acier trempé, méritait sans doute un biopic. Mais celui qu’Angelina Jolie lui consacre pose question. Très démonstratif, il aborde sans subtilités mais avec au moins au début un art certain de l’ellipse, l’incroyable force mentale de cet homme, sans jamais essayer d’en expliquer les raisons.

Zamperini et son ennemi japonais Watanabe (de dos)

Son film finit par devenir un succession de sévices et d’humiliations, tous montrés face caméra, dans un acharnement qui ne laisse place à aucun recul, aucune remise en cause. Comme si Angelina Jolie était littéralement fascinée par cette ultra-violence. Rien dans la réalisation ne cherche à éviter cette démonstration. Rien et surtout pas la musique assourdissante d’Alexandre Desplat, qui renforce encore cette surenchère inutilement. 

Zamperini aux travaux forcés dans le camp de Naoetsu

La faiblesse du film n’est pas son manque de talent. Les frères Coen, Richard Lagravenese et Willam Nicholson ont écrit un scénario sérieux, documenté, à partir du livre de Laura Hillenbrad. Le jeune Jack O’Connel, à peine remarqué dans Les poings contre les murs et le dernier opus de 300, tient bien son rôle, jouant de son physique avantageux et sportif. Non c’est une question d’éthique et de volonté d’asséner qui choque, lasse et finalement va à l’encontre d’un personnage qui aurait mérité qu’on le traite avec tact et générosité. 

D’Angelina Jolie, avec Jack O’Connall, Domhall Gleeson, Miyavi…

2014 – USA – 2h18

Jane Fonda porte un flingue et du Paco Rabanne dans Barbarella
1 janvier 2015

Bonne Année

Véronique LE BRIS / Mon blog 2015, bonne année, Fashion & cinéma, livre, meilleurs voeux, Véronique Le Bris / 0 Comments

Jane Fonda porte un flingue et du Paco Rabanne dans Barbarella

Parce qu’il n’y a pas que la mode dans la vie mais aussi le cinéma!

Bonne année 2015 à vous tous.

Au plaisir de vous retrouver vite sur Cine-Woman. 

Et merci à Calou pour son aide précieuse

Véronique Le Bris

Brogan Hall et Michael C. Hall
31 décembre 2014

Cold in July

Véronique LE BRIS / Mon blog cadvre, Don Johnson, Jim Mickle, Joe R; Lansdale, Juillet de sang, Michael C. Hall, polar, rebondissement, Sam Shepard / 0 Comments

(Juillet de sang) 

Le film commence comme un coup de poing. Richard Dane, père de famille bien sous tous rapports, abat un homme qui a pénétré chez lui, une nuit. La police de la petite ville du Texas où il habite est particulièrement efficace. Le cambrioleur est aussi vite identifié qu’il est enterré.

Cadavre extra

Richard assiste à ses funérailles. De loin. Il est alors pris à parti par le père du cambrioleur, bien décidé à lui pourrir la vie à lui et à sa famille. Transi par la peur, Richard découvre bientôt que son cambrioleur n’est pas du tout celui qu’il croit…

Brogan Hall et Michael C. Hall

C’est à un polar à tiroir, comme le sont certaines charades, que l’on assiste ici. Un polar sombre, parfois glauque même, mené tambour battant dans une première partie extrêmement efficace, où la vérité se dérobe à chaque fois qu’elle semble acquise.

Super viril

Evidemment, Richard n’en sortira pas indemne, mais enrichi d’une amitié hors pair, virile, super virile même, et en même temps plein de doute sur les institutions qui l’entourent et étaient censés le protéger.

Michael C. Hall

La seconde partie, après le rebondissement principal, n’est pas aussi bien construite, aussi profonde que la première. Là, Jim Mickle se laisse aller à une démonstration morale moins intéressante que la partie très réussie où le doute accapare un homme pourtant sûr de son fait.

So 1980’s

Du coup, le film finit comme une sorte de jeu vidéo où la seule valeur en cours est la virilité, sans qu’aucun sentiment qui vaille ne vienne mettre en doute ce code d’honneur masculin. C’est un peu court et franchement décevant, même si fidèle au roman « Juillet de sang » de Joe R. Lansdale dont le film est adapté.

Sam Shepard, Don Johnson et Michael C.Hall

La réalisation de Jim Mickle reste pourtant convaincante, forte d’une reconstitution parfaite de la fin des années 1980 et d’un casting au diapason : Don Johnson et Sam Shepard, figures tutélaires de l’époque, l’un avec Miami Vice, l’autre en endossant une fois encore l’Etoffe d’un héros, mais aujourd’hui passés de mode qui donnent la réplique à Michael C. Hall, révélé plus récemment dans la série Dexter.

Don Johnson au volant de sa rutilante voiture

Belle idée, qui se reflète dans leur jeu un peu outrancier, renfermé et taiseux à l’extrême pour Shepard, bling bling pour Don Johnson, mais qui donne une couleur singulière et inattendu à ce polar pur jus.

De Jim Mickle avec Michael C. Hall, Sam Shepard, Vinessa Shaw, Nick Damici, Don Johnson….

2013 – Etats-Unis – 1h49

© BSM Studio

Cours sans te retourner
24 décembre 2014

Cours sans te retourner

Véronique LE BRIS / Mon blog deuxième guerre mondiale, juif, persécution, survie, système D, WWII / 0 Comments

Hors du commun

En 1942, Yoram Fridman, 8 ans, réussit à s’échapper du Ghetto de Varsovie. Seul. Sa famille a disparu et il doit désormais tenter de survivre.

Plus fort que tout

Jusqu’à la fin de la guerre, sa vie sera une longue errance à travers la campagne polonaise. Il parvient à louer ses bras dans les fermes contre une soupe et du pain. Mais, la répression allemande est si forte qu’il se retrouve toujours en danger.

Cours sans te retourner

Il bénéficie parfois de l’aide et de la bienveillance de la population locale, est à d’autres moments trahi par ceux qui semblaient lui vouloir du bien ou abandonné par ceux qui devraient prendre soin de lui.

Résilience

Yoram Fridman survivra à la guerre et c’est son histoire qu’a choisi de retracer ici le réalisateur allemand Pepe Danquart, en adaptant le livre qu’Uri Orblev lui a consacré.

Une main tendue pour le petit Tkacz

Rebaptisé Srulik, puis Jurek pour faire plus polonais, Yoram Fridman est même parvenu des études et à enseigner les mathématiques après guerre.

Une histoire vraie

Témoignage évidemment très fort sur la persécution des juifs, ce film a la délicatesse de rester très fidèle aux évènements de cette survie extraordinaire. Il se méfie tellement des émotions qu’il peut même paraître un peu froid, un peu distant.

Elisabeth Duda dans Cours sans te retourner

Mais, il soulève judicieusement quelques thèmes forts : la perte d’identité, l’instinct de survie, la dualité humaine, l’incroyable mise en danger de certains pour sauver un inconnu…

De Pepe Danquart, avec Andrezej et Kamil Tkacz, Elisabeth Duda, Itay Tiran…

2013 – France/Allemagne – 1h47

En partenariat avec Grains de Sel

Le procès de Viviane Amsalem de R et S Elkabetz
18 décembre 2014

2014 -Top 10 de…

Véronique LE BRIS / Mon blog 2014;, distributrice, féminin, Luchon, Maud Weicherding-Chalupniczak, top 10 / 0 Comments

Maud Weicherding-Chalupniczak

Maud Weicherding-Chalupniczak est, à la fois, à la tête d’une maison de distribution, Iberifilms, et d’une salle de cinéma à Luchon.

C’est la première distributrice à avoir signé un partenariat avec Cine-Woman, sur le documentaire de Diego Galan, Con la pata quebrada, un film remarquable qui, par des extraits de films, montre l’évolution contrastée et inattendue du statut de la femme espagnole depuis 1930.

Voici son top 10 pour les films sortis en 2014. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il est extrêmement féminin. 

1. Bird People de Pascale Ferran 

2. Bande de filles de Céline Sciamma
3. Les combattants de Thomas Cailley
Le procès de Viviane Amsalem de R et S Elkabetz

4. Le procès de Viviane Amsalem de Ronit et Shlomi Elkabetz
5. Con la pata quebrada de Diego Galan
6. Mommy de Xavier Dolan
7. Pas son genre de Lucas Belvaux

Ida de Pawel Pawlikowski

8. Ida de Pavel Pawlikowski
9. Une nouvelle amie de François Ozon
10. The Grand Budapest Hotel de Wes Anderson
©-Amit Berlowitz
©-Sylwester-Kaźmierczak
Con la pata quebrada, documentaire de Diego Galan
18 décembre 2014

2014 – Mon Top 10

Véronique LE BRIS / Mon blog 2014;, Abderahmanne Sissako, Amour, Diego Galan, femme remarquable, Gregg Araki, Jasmila Zbanic, Larrieu, Lucas Belvaux, Mathieu Amalric, Mommy, Naomi Kawase, Shailene Woodley, top 10, Xavier Dolan / 0 Comments

D’amour et de femmes

1. Mommy de Xavier Dolan
2. L’amour est un crime parfait d’Arnaud et Jean-Marie Larrieu
3. Pas son genre de Lucas Belvaux

Con la pata quebrada, documentaire de Diego Galan

4. Con la pata quebrada de Diego Galan
5. White bird de Greg Araki
6. Timbuktu d’Abderahmanne Sissako

Still the water de Naomi Kawase
7. Still the water de Naomi Kawase
8. Les femmes de Visegrad de Jasmila Zbanic
9. Divergente de Neil Burger
10. La chambre bleue de Mathieu Amalric

Rosamund Pike, la Gone Girl de David Fincher
18 décembre 2014

2014 – Top 10 de…

Véronique LE BRIS / Mon blog 2014;, Christopher Nolan, David Cronenberg, Denis Villeneuve, Dorothy Malherbe, Eric Lartigau, Gustave Kervern, top 10, Wes Anderson, Xavier Dolan / 0 Comments

Dorothy Malherbe

Elle a beau être une fille, jeune, mais elle n’en aime pas moins le cinéma musclé. Voici donc le Top 10 de Dorothy Malherbe, directrice de l’Etoile Cosmos de Chelles (77), pour l’année 2014.

  • 1. Un homme très recherché d’Anton Corbijn
  • 2. Maps to the stars de David Cronenberg
  • 3. Interstellar de Christopher Nolan
  • 4. Mommy de Xavier Dolan

Rosamund Pike, la Gone Girl de David Fincher

  • 5. Gone girl de David Fincher
  • 6. Night Call de Dan Gilroy
  • 7. Enemy de Denis Villeneuve

Tony Revolori et Saoirse Ronan dans The Grand Budapest Hotel

  • 8. The Grand Budapest Hotel de Wes Anderson
  • 9. Near death experience de Gustave Kervern et Benoît Delépine
  • 10. La Famille Bélier d’Eric Lartigau
La famille Bélier : François Damiens, Ilian Bergala, Karine Viard et Louane Emera
17 décembre 2014

La famille Bélier

Véronique LE BRIS / Mon blog chanson, émancipation, Eric Elmosnino, famille, famille Bélier, François Damiens, Karine Viard, Louane Emera, Michel Sardou, sourd / 0 Comments

Comédie en-chantante!

Chez les Bélier, on ne s’entend pas ! Et pourtant, personne ne parle… ou presque. A part Paula, la fille, tout le monde est sourd, mais ce n’est pas une raison pour ne pas communiquer. Et Paula est chargée d’échanger avec le monde extérieur.

Couper les ponts

Même si l’ambiance de la ferme où ils habitent est chaleureuse, enjouée, lourde aussi parfois, Paula a les préoccupations de son âge : le lycée, les garçons et sa nouvelle passion, le chant chorale.

La famille Bélier : François Damiens, Ilian Bergala, Karine Viard et Louane Emera

Mais, comment faire comprendre à sa famille sourde qu’elle a une voix extraordinaire ? Et que si elle veut essayer de construire son avenir avec, c’est à Paris que cela se joue, c’est-à-dire loin des siens qui ont tant besoin d’elle ?

Peu de mots, beaucoup de notes

Avec un enjeu pareil, on pouvait s’attendre au pire et pourtant, c’est le meilleur qui surgit à l’écran. La Famille Bélier est un de ces très belles surprises qui va enjoliver la période des Fêtes. C’est avant tout une comédie très forte en émotions, où l’on passe sans cesse du rire aux larmes.

Louane Emera et Eric Elmosnino dans La famille Bélier

Ce film, qui mixte langue de signes et paroles, a, en plus, la chance d’être porté par de merveilleux acteurs, Karine Viard, François Damiens, qui ne disent pas un mot, Eric Elmosnino qui, lui, parle trop et la magnifique Louane Emera, à la voix sublime révélée par The Voice et au charme un peu bourru touchant. Et rythmé par des répliques efficaces comme « quand il n’y a plus aucun espoir, il reste Michel Sardou ». Joyeux !

D’Eric Lartigau, avec Karine Viard, François Damiens, Eric Elmosnino, Louane Emera…

2014 – France – 1h 45

En partenariat avec Grains de Sel

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