Love me tender
Love me tender est une adaptation épurée mais fort bien tenue d’une autofiction de Constance Debré, menée par la réalisatrice Anna Cazenave Cambet. En sélection officielle à Un Certain Regard 2025.
Love me tender est une adaptation épurée mais fort bien tenue d’une autofiction de Constance Debré, menée par la réalisatrice Anna Cazenave Cambet. En sélection officielle à Un Certain Regard 2025.
Quelle bonne idée que d’adapter Amélie Nothomb et ses dialogues intérieurs si singuliers en animation ! Amélie et la métaphysique des tubes est une belle réussite, pour tous. Présenté en sélection officielle du 78e Festival de Cannes, en séance spéciale.
Quand il perd sa mère Siham, le réalisateur Namir Abdel Messeeh fait parler son père pour saisir ses racines égyptiennes. La vie après Siham est présenté à l’Acid 2025.
Un couple lesbien attend un enfant. Rien n’est simple. Des preuves d’amour est un premier film sincère d’Alice Douard, présenté à la Semaine de la Critique, le 17 mai, journée mondiale contre l’homophobie.
Derrière ce titre à la morale catholique, se cache une charge punitive contre les femmes et leur désir. Que ma volonté soit faite, le troisième film de Julia Kowalski, est présenté à la Quinzaine des Cinéastes.
Derrière ce titre étrange, se cache un film politique coup de poing sur la vie quotidienne à Gaza fin 2024 et début 2025. Signé par Sepideh Farsi, il est présenté à l’Acid Cannes et sera un des évènements du 78e Festival de Cannes.
Sur un vieux tube de Stone et Charden, Sophie Letourneur poursuit son exploration des vacances en Italie, en famille cette fois. Répétitif, scato et pas drôle, le film ouvre l’ACID le 14 mai.
Partir un jour, la comédie musicale d’Amélie Bonnin, ouvre le 78e Festival de Cannes. Ce premier film était pas taillé pour, malgré son petit charme et Juliette Armanet.
La 64e Semaine de la critique mise sur la découverte de nouveaux talents, pour majorité, féminins. A vivre et à voir du 14 au 22 mai 2025.
Il lui a suffi de deux documentaires inspirés par sa famille pour remporter le Prix Alice Guy. Bye bye Tibériade, révélé à la Mostra de Venise et qui a représenté la Palestine à l’Oscar, installe Lina Soualem au cœur de la nouvelle génération des réalisatrices qui comptent.