Jane Campion, la femme cinéma
Julie Bertuccelli réalise le premier grand documentaire sur la réalisatrice Jane Campion, la femme cinéma. Une plongée au cœur des obsessions, des ambitions de cette créatrice discrète.
Véronique LE BRIS / Cannes, Festivals, Films, Mon blog, Rencontres / 2022, 75e Festival de Cannes, 8 mars 2023, Arte, Arte.tv, Cannes Classics, cinéma français, documentaire, femme, Festival de Cannes, Jane Campion, réalisatrice / 0 Commentaire
Julie Bertuccelli réalise le premier grand documentaire sur la réalisatrice Jane Campion, la femme cinéma. Une plongée au cœur des obsessions, des ambitions de cette créatrice discrète.
Dans Un silence, Joachim Lafosse traite du silence complice d’une mère. Intéressant mais culpabilisant. Et si le film se trompait de coupable ?
A la suite d’un incident, une mère célibataire doit faire face aux services sociaux et aux institutions. Rien à perdre, le premier film de Delphine Deloget a connu une superbe ovation lors de sa projection à Un certain regard au Festival de Cannes 2023.
La malédiction se transmet-elle de mère en fille? Ou peut-on briser le lien? C’est ce qu’explore Mona Achache dans le très émouvant Little girl blue, un vrai faux documentaire sur sa mère suicidée.
Trois lycéennes anglaises partent pour une semaine de fête dans une station balnéaire de Méditerranée. Au programme : sexe, drogues et alcools ! How to have sex de Molly Manning Walker qui traite des limites traumatisantes de cette débauche a reçu le prix Un Certain Regard au Festival de Cannes 2023.
Avec Simple comme Sylvain, Monia Chokri donne un coup de neuf à la comédie romantique. Bien écrite et bien jouée, elle interroge aussi les stéréotypes de classe et de genre avec beaucoup d’humour.
A Hollywood, durant l’âge d’or des studios, il n’y eu qu’une femme réalisatrice. Pas deux. Dorothy Arzner, une pionnière à Hollywood de Julia et Clara Kuperberg retrace son parcours et son apport au cinéma mondial. A voir le 12 novembre sur OCS.
Dans Comme si de rien n’était, Nadine Marcovici se confronte à l’âgisme et au sexisme à l’écran. Avec humour. Dans Comme si de rien n’était, Nadine Marcovici se confronte à l’âgisme et au sexisme à l’écran. Avec humour.