La belle et la meute
En Tunisie, une jeune femme est violée par des policiers. La belle et la meute, la deuxième fiction de Kaouther Ben Hania, raconte son parcours du combattant pour faire reconnaître ses droits.
En Tunisie, une jeune femme est violée par des policiers. La belle et la meute, la deuxième fiction de Kaouther Ben Hania, raconte son parcours du combattant pour faire reconnaître ses droits.
Une fois n’est pas coutume, Cine-woman recommande vivement une pièce de théâtre… très cinématographique : Bovary, les films sont plus harmonieux que la vie de Cendre Chassanne. A voir dans le cadre de son Focus Femmes ! à la Maison des Metallos jusqu’au 17 septembre 2017 puis un peu partout en France jusqu’en mars 2018.
Le redoutable est à la fois un sous-marin des années 1960 et le réalisateur révolutionnaire Jean-Luc Godard. Enfin, d’après Michel Hazanavicius qui revient encore avec une parodie.
Sofia Coppola retrouve une communauté féminine aussi solidaire que rivale. Les proies permettent une exploration intéressante de la relations entre femmes.
Avec Une femme douce, le réalisateur ukrainien Serguei Loznitsa profite du parcours d’une épouse vers son mari en prison pour dénoncer les travers de la société russe. Radical.
Après le succès d’Ernest & Célestine, Benjamin Renner, son jeune réalisateur, revient au cinéma avec l’adaptation de sa propre BD : Le grand méchant renard et autres contes. Et c’est très formidable!
The young lady, le premier film de William Oldroyd, raconte la révolte sans concession d’une jeune anglaise, malheureuse dans un mariage arrangé.
Tim adorait sa vie avant que Baby Boss ne déboule dedans avec, avec en plus, la bénédiction de ses parents. Et oui, avoir un petit frère est une sacrée aventure.
Disney donne vie en live action à La Belle et la Bête. Emma Watson est la belle évidemment dans cette version en comédie musicale. Pas mal.
Longtemps avant le studio Aardman et Wallace & Gromit, l’animation anglaise peut s’enorgueillir d’avoir produit un chef d’oeuvre : La ferme des animaux de John Halas et de Joy Batchelor. Considéré comme trop anticommuniste, ce film de 1954 n’est sorti en France que le 22 décembre 1993. Le voici à nouveau dans une version restaurée.